enter in live chat with me
ASHEMALETUBE
Entrez un titre pour cette partie
Chat with me
shemale tube Liane D
Je suis chaude partout et vous ?
...
...Ce janvier 2021 reçu. En dernier lieu un Daniel que je semblais exciter, qui en définitive se sera mal conduit. Du coup, un autre rendez-vous par LadyXena n'a pas eu lieu, trop perturbée, j'ai préféré annuler plutôt que connaître autre mésaventure - Qui sait ?
22 Janvier 2021, à Berlin, chez un particulier, qui m'emmène depuis l'hôtel sur sa moto. Je connais pas si bien que ça Berlin et j'aurais pas été capable de retrouver mon chemin. Il a le look motard et me baise vite à même une table où débout il me plie et me prend. Retour à l'hôtel trois heures après. Cassée mais il s'est montré good boy.
Février. Deux rencontres. Avec ma bouche. Reviendront-ils ? A voir
Berlin de nouveau. Ils étaient deux cette fois, le même et un copain m'a-t-il présenté l'inconnu. J'ai sucé l'inconnu pendant que l'autre me prenait ma chatte. Puis ça été l'inverse. L'inconnu avait une longue queue épaisse et très veineuse. Il m'a fait plutôt mal en me prenant, j'ai été un moment sans être prise. Dans le feu de l'action, j'ai passé outre et l'un et l'autre se sont finis dans ma bouche. Retour à l'hôtel précédent.
Je devais aller à Oran. Le client a décommandé. Cette semaine, je suis du côté de Nice et j'ai plusieurs rendez-vous. J'en avais un demain, mais la décision du confinement dans les Alpes Maritimes empêche ce rendez-vous. Le client voulait passer outre, mais renonce finalement. Lundi, un "habitué" - ce sera la troisième fois - puis deux autres. Il me reste du temps disponible, si certains passés ici veulent...Là, je vais pas tarder à me coucher. Stripchat s'avère décevant ces dernières fois que je my suis montrée. Bisous à tous.
Prise par trois
J ai dû tricher ces dernières semaines pour répondre aux rares invitations qui me viennent des divers sites où je m'affiche, mais je n'ai pas regretté ce samedi dernier, vingt quatre avril donc, où un musculeux m'attendait donc dans une maison de campagne occupée pour l'occasion, ainsi qu'il me le dira.
D'abord, j'aime la force, j'aime être menée, dominée même. Et ce rouquin aux toisons fort odorantes m'a vite amenée à jouissance en me pénétrant bouche et chatte chatte et bouche et les deux en s'aidant de doigts.
Il a fallu cependant que moi aussi je le mène à décharger avec ma bouche longuement. Après quoi, j'ai plongé dans un sommeil immédiat.
Mais il ne l'entendait pas ainsi. Après deux heures de repos donc, il m'a dit que le soir deux copains à lui devaient se joindre à nous. Et aussitôt il m'a prise de nouveau.
Et le soir, les deux copains sont venus. Et j'ai dû les satisfaire en plus de mon rouquin.
Je me suis achetée un joli jouet pour les fêtes
Bonjour mes amours
Je me suis achetée un joli jouet pour les fêtes. J'ai très envie de jouer avec vous. Et vous ? Retrouvez-moi du 19 Décembre au 26 Décembre 2019 pour jouer avec moi.
Bisous
A bientôt
LIANE
Je joue avec mon jouet sur stripchat, le site exhib de shemaletube. Venez m'y voir quand je ne suis pas sur xcams
DOUCE CHATTE, follow me on stripchat
Je suis chaude. Ma bouche est un vrai nid pour. J'ai une grande expérience. Venez me voir, vous ne serez pas déçu..Avec ma langue et mes dents très douces je vous ferai venir...Venez m'essayer
Je me suis préparée
Un rendez-vous à 10 heures 30 depuis un de mes sites d'annonce. Cela s'était fait très vite, en deux mails. Ce matin, 8hs18, un sms pour me dire : "désolé, impondérables peux pas venir" J'avais oublié les jokers qui s'excitent à bon compte! Bec dans l'eau. Tant pis, tant mieux. J'étais si chaude. Douche froide donc. Le jour s'est levé, clair, piqué de milliers de petits cris d'oiseaux, un vrai fourmillement. Normalement, un rendez-vous en début d'après-midi. On va voir. Chatte échaudée craint l'eau froide.
Mon voisin m'épie
Oui, un visage regardait dans ma direction. Or, ce matin, je regardais par ma fenêtre et, de nouveau, au même endroit, de biais, un visage regardait vers chez moi. Etait-ce le même visage ? Je ne sais car je me suis écartée très vite, agacée et frémissante à la fois. Je ne sais rien de mes voisins, ni évidemment de celui-ci, sinon qu'ils sont d'origine maghrébine ( comment pourrait-il prendre ce que je suis ?) et jeunes.
Je me suis écartée, mais enflammée aussi. J'attends maintenant mon rendez-vous, il viendra vers 15hs30. J'espère que je ne serai pas épiée encore. Je n'aimerais pas qu'on bavasse sur moi, dans le village.
Pour autant je n'en délaissais pas d'autres
L'autre nuit....
Oui, c'était avant ce funeste treize mars 2020. Sur la promenade, dans les rues avoisinantes en tout cas, on pouvait se proposer. J'y ai fait quelques fois la putain, dans le bruit des vagues, le roulis des galets, quelques fois. Une nuit, c'était du côté de l'avenue des fleurs, l'avenue, la rue je ne sais plus. Bref, une travestie est venue à moi me demander une cigarette. Des heures qu'elle tapinait pour un client juste, quelques voyeurs. Je n'étais guère mieux lotie avec mes deux vite faits dans un recoin d'ombre avec la trouille d'être surprise et mon client avec moi. On aurait été dans de beaux draps. Heureusement, l'endroit est assez désert et, plus haut, sur le boulevard Gambetta, il y a des prostituées tant et plus et donc, je ne sais pas si c'est toléré ou quoi. Bref, j'avais pu sans problème.
Il est venu lui
Je crois que je suis amoureuse.
ce 15 Avril 2021
Paris. Je retrouve un amant du temps de mon blog sur erog, quotidien d'une trave entravée. Il a tapé liane dargueil et a trouvé le lien avec TopEscortBabe pour me joindre. Je retrouve sa fourrure, son sexe long et capable de jouir plusieurs fois dans ma bouche. Où ? Dans un hôtel du côté de la gare de Lyon. Il jouit trois fois dans ma bouche. Quand il repart, je suis affamée. Encore et encore.
Un moment délicieux
Je suis seule aujourd'hui, la bouche pleine encore du sperme avalé, il y a quelque temps, entre Lille et Paris. Cette pensée me ramène à un que j'allais voir du côté de la porte d'Ivry;
Il habitait une tour, au dix-septième étage. Depuis ses fenêtres, on touchait les nuages. Il ne fallait surtout pas se pencher ni avoir le vertige. Il s'appelait André, avait un visage dur, des yeux froids derrière des lunettes. Je me rappelle, la première fois, j'avais eu peur. Il avait aussi un sexe tout blanc, couleur mastic, énorme. Des couilles de taureau, comme j'en avais vues, adolescente, avec le sentiment d'un vertige tout d'un coup, le désir d'y aller voir de plus près et aussi la terreur de la bête, de son regard figé sur moi. Comme si elle comprenait.
Quand j'ai eu dans la bouche son sexe énorme, couleur mastic, goût fade, j'ai senti en moi tout céder, n'ayant plus que le désir de le sucer, de satisfaire mon hôte.
J'ai sucé et sucé et sucé très souvent, jusqu'à ce qu'il m'interdise de revenir, du fait qu'il craignait pour son hygiène, depuis qu'il me voyait partout sur de très nombreux sites à m'exhiber et m'offrir. Cette fois-là, je l'avais eu dans la bouche sans rien, quand souvent il s'avançait couvert.
Il bandait tant et plus. Je le faisais bander, mais il n'éjaculait plus, après une opération. J'ai voulu le reprendre en bouche, il m'a giflée à la volée plusieurs fois. Je me suis retirée. Néanmoins, une fois que j'ai été debout, il m'a demandé de m'asseoir sur ses genoux et, exigeant que je le regarde dans les yeux, il m'a branlée - m'a traite, comme il disait. Et j'ai giclé très vite.
Et plusieurs fois. Quatre en tout, durant le temps chez lui. Après quoi, il m'a dit de partir et plus jamais il n'a répondu à mes mails, mes appels. Et je ne l'ai plus jamais revu. Même à LA MAISON DU TRAVESTI dans le dix-septième où il avait ses habitudes pourtant.
Un moment délicieux (suite)
Vous voyez, j'étais sans poitrine alors, elle poussait à peine, il m'en faisait assez reproche. Mais il aimait mon cul, bien que se refusant à le pénétrer - sa trouille toujours d'attraper un truc - se contenant de jouer de ses doigts qu'il me faisait sucer ensuite.
Il faut que je dise encore que son sexe m'avait subjuguée et que, si j'allais à bien d'autres hommes dans l'intermédiaire, je ne cessais de penser à lui, comparant ceux croisés au sien. Il avait une façon aussi de me "traire" qui ne manquait jamais de me faire venir dans sa main que je devais ensuite nettoyer.
Par la suite, j'ai rencontré d'autres hommes qui m'impressionnaient autant que lui, mais aucun, jamais, n'aura laissé en moi pareille empreinte que la sienne.
C'était donc lui André
Métro Jasmin. Sa langue enroulée à la mienne et tirant à l'arracher - angoisse de la sentir arrachée. Tu n'aurais pas envie que des messieurs t'installent et viennent te voir ? Tu as du chien, tu as un corps voluptueux, tu te sers fort bien de ta bouche, ta chatte est accueillante. De plus, tu t'exprimes bien, tu as l'air cultivée. Tu ne voudrais pas ?
Si. Mais.
Mais quoi ?
Rien
Tu es en main déjà ?
Non
Quoi alors ?
Rien.
Penses y en tout cas. Je peux t'arranger ça.
Ce n'est pas lui pourtant qui m'aura installée. Plutôt un qui ne payait guère de mine, n'habitait pas Passy, n'avait pas l'entregent de celui-là. Etrange quand j'y repense. Mais le corps, sinon le coeur, s'attache étrangement souvent. Celui-ci, ce fut par la cravache et le bondage qu'il m'attacha à lui. Et que, bientôt, il m'installa dans son studio minable.
Escortes portugaises
Un week -end délicieux
ah ce goût ce contact!
une visite
L'homme est là, rond et velu. Je touche sa ceinture sa braguette. Mes doigts défont son sexe. Je m'accroupis, son sexe dans ma bouche. Ah ce goût, ce contact, le gland si doux soyeux la mouillure qui deviendra flot tout à l'heure si ma bouche ma langue. Ses doigts je veux que ses doigts me pétrissent. J'aime qu'il soit sale avec moi, j'aime ses mots crus, j'aime sa façon de plaquer sa main à ma nuque. Je veux que sa queue sorte de ma bouche pour plonger dans ma chatte mon cul. Je suis mouillée tendre déjà. Il me donnera sa queue ensuite à lécher et sucer de nouveau. Il a jailli dans ma gorge. Il est parti aussitôt. Le billet qu'il laisse n'est jamais que le prix de ce vide qui me vient avec mon désir jamais assouvi vraiment
Entrez un titre http://www.eurogirlsescort.com/free-advertising/pour cette partie
J'aime ça
Peaux mouillées
Pas facile d'agripper le client. Je ne dirai pas, ces temps-ci, car ce n'est jamais facile. Ces dernières semaines, si j'ai eu quelques touches, dont une en Allemagne où je suis parfois, j'ai surtout eu des rendez-vous sans suite et, pire, des lapins. Néanmoins, entre mes exhib stripchat et quelques uns qui me viennent. Mais ce n'est pas facile. Hier soir, assez tard, un petit gros tout en poils, verres épais sur le nez. Il voulait surtout me regarder avant que je le branle et le suce pour finir. Assise face à lui, après avoir mimé caresses sur mes seins et mon bijou, j'ai branlé de mes pieds son engin plutôt imposant. Je mouillais tant et plus sous son regard, il me tenait les chevilles entre ses mains et par moments me caressait les mollets et plus haut. J'avais peur de jouir avant lui, cela fait toujours mauvais effet. Mais j'ai tenu bon, en serrant les dents. Après l'avoir donc branlé de mes pieds, j'ai basculé vers lui et ma bouche a pris le relais. Il est venu très vite, me fixant par la nuque à son sexe tout le temps de se vider. Après, quelque peu essoufflée, je l'ai observé se rhabiller, poser des billets sur la petite table près des fauteuils, dire merci et partir. Depuis, silence. Le reverrai-je ? Je saurai les jours à venir.
Je voulais faire stripchat et puis non, trop fatiguée de ma journée.
faire un bilan de ce début d'ETE.
Peu d'habitués ici en France et surtout ici dans la région de Nice où je suis. J'en avais quatre qui seront venus régulièrement mais de loin en loin. Un notamment que je croyais bien devoir garder une longue période et puis non, c'est lui qui fait faux bond ces temps-ci. Certes, ma beauté a fané et j'ai surtout du chien et de la bouche désormais. On aime cependant mon effronterie, ma façon d'être crue, et ma bouche vorace et sensible.
En Allemagne, quand je suis demandée, c'est souvent des séances sm, sauf pour l'amant de coeur que j'ai là-haut pour lequel je suis -comme il dit - sa petite femelle - nid douillet où il aime à semer.
ici, c'est ma bouche surtout, s'il arrive qu'un me prenne la chatte et s'y vide.
En ce moment, quatre voire cinq par semaine, c'est une bonne semaine. Sur STRIPCHAT, je m'efforce de séduire...Ce n'est pas si simple hélas.
Je m'étais Faite...
"Tu mouilles drôlement ma belle!, il a dit, me branlant un peu.
J'ai dit oui en hochant la tête, cherchant dans ses yeux son sentiment exact. Mais il a renoncé, en s'essuyant la main à ma robe. "Montre-moi maintenant ta bouche velours. Puisque c'est ta marque selon toi." il a dit sèchement.
En tremblant quelque peu, de crainte de décevoir ce bel homme qui savait me parler, qui touchait droit au coeur, je me suis accroupie, agenouillée ensuite. Mes ongles rouges ont détaché sa bête de son habit et je l'ai sucée sans répit, y ajoutant doigts et ongles aux couilles, ainsi qu'on m'a appris. Après un long moment, il m'a tiré la tête, m'a dit de me relever.
Où est le lit ? il a dit.
Dans la chambre, il a tiré la robe et m'a broyé un sein et l'autre, y posant lèvres et langue et dents tour à tour.
"Pas mal, il a dit, faudrait qu'ils poussent un peu plus quand même." il a souri maléfique disant ça.
De nouveau, je l'ai sucé. Maintenant, il était allongé sur le dos, jambes en dehors du lit, jambes écartées. J'ai pensé qu'il allait venir dans ma bouche et partir. Il n'avait pas l'air pressé cependant. Un autre viendrait plus tard, s'il me laissait un dernier message, que je n'y répondais pas, il renoncerait. Je n'ai rien dit cependant, suçant encore et encore.
Enfin, il m'a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit, m'a dévêtue entièrement, en me trouvant trop grasse. A claqué mon cul, "un vrai cul de truie!", son commentaire. Quand il a été très rouge, très chaud, il m'a tirée vers lui. S'est enfoncé en moi, faisant mal. A bougé et jailli assez vite, déposant un baiser à mon cul.
C'était bien bon, il a dit, je reviendrai.
Un gros billet sur la table. Un sourire rapide. Porte ouverte, refermée. Parti.
Suis restée subjuguée longtemps. Avant de réagir.
Cet Août 2021
Je risque pas d'oublier. Je me relève écorchée en sang. Jambes qui flageolent. Tout avait commencé comme d'hab. Bien sûr, c'était un nouveau, mais ils sont toujours nouveaux la première fois. Pas très grand, plutôt rond, âgé moyennement, à demi chauve cependant, un sourire certain, des yeux marrons, un visage plutôt agréable. Chemisette, jean, tennis. Je lui ouvre, il entre. Je le laisse me regarder, j'attends le verdict habituel. Il s'approche. Baiser furtif. Il m'enlace, me touche en travers de la jupe. Relève celle-ci, dénude mon bijou, le branle. Malicieux. Je mouille. S'essuie à ma jupe. Il dit : Ok. Les conditions ? Dites par mail. Ah oui! Il donne. Je prends. Il m'entraîne. Me bouffe la bouche. Me plie contre lui. Son sexe dans ma bouche...
Me retourne. M'abandonne. Descend ma jupe. Tire le string. Mains aux hanches. Pousse son sexe. Pousse son sexe dur. S'enfonce malgré. J'ai mal, serre les dents. J'ai mal. Il va et vient. J'aime, j'ai mal. J'ai mâle. J'aime. Sort. Me retourne. Ejacule sur mon visage. Sort de la chambre. Salle de bains. Douche. J'entends. J'ai mal. Je mouille, me touche : Du sang. Me relever. Dur. Jambes vacillantes. Rogue, il dit : c'était bien. Tu es exactement ce que je cherche. Une soumise." Je dis rien. Il va partir. Il part. Depuis je me soigne.
To my berliner's
Néanmoins, j'ai froid intérieurement à ce voyage, ce rendez-vous, toutes choses nouvelles pour moi. Et je ne parle pas la langue, juste quelques mots.
Ich liebedich je voudrais dire, je n'ose. Mon accent. Et puis une pute qui dit ça, c'est déplacé, c'est ridicule. J'aime sa moustache, elle me tire des frissons. J'aime être à califourchon sur sa grosse moto accrochée à lui, sentir le cuir froid et lisse, le poids froid des chaînes. Je les imagine, j'imagine ces dernières croulant à ma peau, la caresse froide, le poids qui résonne en moi. Tout à l'heure, je vais sentir dans ma bouche le poids de son sexe, le poids de ses boules. Je vais lécher et sucer, sucer et lécher jusque son sexe fondre en ma langue et ma bouche.
Je ne savais pas qu'il y aurait un autre. Un ami de lui. Un qui m pénétrerait aussi, autrement que lui. Je ne savais pas.
Quand nous sommes retournés à l'hôtel, il - Werner, je crois - j'ai demandé qu'il me suce, j'ai pas supplié, mais j'aurais pu. Qu'il me suce. Et j'ai tout fondu dans sa bouche. Je crois pas que j'aurais pu tenir sans ça, sans faire acte insensé.
Depuis, je voudrais sa chaîne.
il est déjà venu
Entrez un titre pour cette partie
Baisée
Et l'on recommence. Gicle de nouveau. Puis m'entraîne dans la chambre, sur le lit et me prend. Pas si simple. Un peu de gel, ses doigts. Il s'enfonce enfin. Cela va durer car il en veut. Et je ne dis pas non. Je sais reconnaître mon plaisir. Il me prend en me caressant me pétrissant me bousculant sortant revenant me reprenant la bouche retournant à ma chatte. Je ne suis plus que son mouvement, je m'abandonne, je geins même. Il gicle je le sens dans ma peau par les brèves et courtes secousses.
Il se retire. Réclame ma bouche encore. Je suis lasse mais je fais. Il voudrait aussi que je le prenne mais je ne peux pas. Ne peux pas. Gorgée d'hormones je peux plus.
Il part. Il est tard. Il reviendra peut-être. Il est content. Bisous. Je vais rêver de lui et me caresser rêvant de lui.
Ce que j'ai fait jouissant à mon tour.
Croyez-vous qu'une putain....?
"Tu ne risques rien, je dis.
" Avec toi peut-être! Mais les autres ? Ceux qui sont déjà venus pareils en toi ?
"Je fais attention. Je me teste tu sais."
Il hésite. Puis. Son sexe en moi. Que je retiens d'une main. Une main qui caresse en même temps. Il vient. J'ai rien senti mais suis pleine de lui.
Plus tard, un autre viendra. Qui ajoutera sa semence à la sienne. Je dormirai ainsi, pleine de deux. Mais c'est D que j'aime.
Et puis d'autres sont venus
Demain,
Jouer de moi sans limites. Ces quelques mots. Chaînes, anneaux aux pieds, cuir. Non, body de velours noir, string, bas à mailles noires. Petits talons roses. Jupe noire, bolero à roses, truc de pute que je traîne depuis un temps certain. Je serai prête quand il frappera à la porte. J'ai imaginé sa tête, pas sûre que ce sera la bonne, puisque je ne connais que sa voix. On verra. Ah oui, j'aurai les tétins pris dans des pinces, puisqu'il le veut.
Très vite Alex n'a plus suffi
En attendant, je m'exhibais ici et là, j'alimentais mon blog sur erog ( le quotidien d'une trave entravée) dont certains se rappelleront peut-être, et surtout je suçais qui venait me voir.Je n'en avais jamais assez. Et seule la fatigue parfois. La fatigue et les lapins somme toute nombreux.
12 Octobre 2021
En me quittant l'an passé alors que j'envisageais de cesser, beau gosse m'avait dit, alors qu'il avait giclé dans ma bouche à trois reprises : Une putain reste une putain. Tu n'arrêteras pas. Ou tu y reviendras."
Je n'ai pas cessé, quoique souvent. Là, après un retour éclair Berlin-Nice, j'ai reçu "Dear Gerald" qui aime le cuir , je veux dire porter le cuir et cravacher parfois.
il m'a bien baisée. Cette photo pour qu'il se rappelle de moi, de Liane.
LADYXENA
Une partie fine
Je traînais dans des clubs. Un libertin m'avait montré le chemin en m'y emmenant. J'avais aimé, je suçais à la file ceux qui se présentaient, souvent séparés d'une grille, mais aussi au milieu d'autres qui regardaient, et parfois, ne se contentant pas de regarder, prenaient la place de celui que je suçais. Oui, j'avais aimé ça et je recevais chez moi dans une petite chambre parfois jusque quatre hommes en même temps. Là, ils ne seraient que deux, mais les photos faites par l'un d'eux seraient "partageable". Le premier, celui debout, celui qui se finit dans ma bouche, est revenu bien des fois et chaque fois ce fut un plaisir des sens renouvelé. Il m'aura fistée par exemple, ils ne sont pas nombreux à m'avoir fistée. Il avait une grosse queue blanche et était toujours élégant avec moi. Oui, je l'ai regretté quand j'ai dû quitter la région parisienne.
Le second, ici couché, sans cesse couché ou spectateur, c'était la première fois, il sera revenu seul, une seule fois, il n'était pas à l'aise. C'est ainsi. C'est lui qui prend les photos, l'autre mène la danse. Et j'aime ça.
Un rendez vous
Gorgée de caresses. J'aimerais être restée au lit sur lequel. Ma bouche cherche son sexe alors qu'il est parti maintenant. Et généreux avec ça. Le sourire sardonique, il est entré, grand et blond, Quand j'y repense...Il bandait dur dans ma bouche sous ma main. Et ça a duré jusqu'à ce qu'il me prenne - veuille me prendre - la chatte. D'ordinaire, celle-ci est ouverte. Là, serrée comme le cul d'une vierge. Il a débandé d'un coup. J'ai essayé de ma bouche de le durcir de nouveau. Mais malgré de longs moments, rien n'y a fait. Je me suis excusée; rare heureusement.
Fin Octobre 2021
De retour. Pluie intense. C'est l'automne n'est-ce pas! Un visiteur. Grand et gros et velu très. Veste de jean noire et pantalon idem. Il me regarde, me déshabille du regard. J'aime et j'aime pas. Il referme la porte; le spectacle lui a plu. Je propose une bière. Il décline, s'approche, m'enlace. "Tu me plais bien. Ton allure de pute me convient. Même si t'es pas de première fraîcheur." Il m'offre de ses doigts à sucer. " Doucement doucement on n'est pas pressé sois un peu sensuelle lascive ma putain." il dit et j'essaie d'être sensuelle lascive comme il veut. "C'est bien. Maintenant tu fais pareil avec ma bite ok ?" J'acquiesce je glisse je tire le zip j'extirpe la bite j'essaie de le faire bien sans la blesser. Il finit par m'aider, défaisant sa ceinture. Assez longue et dure, le gland violacé. Je suce. Longuement. Il m'indique de ses mains de cesser. Je cesse. Il se déshabille. Il est nu. Entièrement. Sur le lit. "Maintenant tu vas m'embrasser me lécher partout partout. Compris ?" Je vais faire. Longuement. Pendant qu'il va crocheter mon cul, rouler ses doigts dans ma chatte, murmurant cochonneries à son intention autant qu'à la mienne. Puis il va me demander de me déshabiller. Entièrement. Et puis il va me pétrir longtemps et puis s'enfoncer dans ma chatte et jouir. Avec un préservatif je préfère préciser.
Ce 18 Novembre 2021
Je finis (?) la journée. Quatre visiteurs. J'ai bouffé de la bite en veux tu en voilà. Et j'ai encore faim en écrivant ces mots. Couchée sur le lit, je me caresse entre deux mots. J'ai la bouche encore mouillée du sperme du dernier. Leur odeur est partout sur les draps, il me faudra les laver. Je veux encore.
Bientôt femme et rien que femme
Depuis je ne cesse de me regarder dans mes miroirs de salle de bain. Je ferme les yeux et m'imagine sans ce sexe d'homme. Certes, il n'est déjà plus rien, un gros bijou comme disait Serge de T dans ses lettres. Quand il l'avait gobé la première fois, il l'avait appelé aussi bouton de rose. Après quoi, il m'avait cinglée le buste et le cul d'une de ses cravaches.
Il m'avait rendue folle de ses lettres et ce qui les accompagnait bien souvent. Fleurs et vêtements avaient suivi, il aimait que je porte le cuir.
Il aura été important dans mon parcours de vie. J'avais alors renoncé presque à devenir Liane. C'est lui qui m'avait redonnée le goût d'être, en exaltant ma beauté - réelle ou supposée selon lui. J'y avais assez cru; ah, fouler pieds nus ongles laqués anneaux aux orteils les feuilles mortes du bois de Boulogne en lisière de Neuilly où il résidait! C'était comme sentir son sexe dans ma fente meuble. Ce goût du sexe qui me conduirait à multiplier les aventures et, peu à peu, le détacher de moi. Lui qui me voulait déjà femme et rien que femme, sa putain rien que pour lui.
Et aujourd'hui!
...Je ferme les yeux, je pose mes mains sur mon corps tout le long en dessine les courbes, fente au lieu de ce sexe encore d'homme. Une fourrure ? Où enfouir mes doigts, les sentir mouillés, les humer, les lécher et plonger dans le trou plus bas, ses senteurs capiteuses qu'il traquait de sa langue.
...Anton, un beau blond, croisé à Berlin, où j'étais il y a peu. Où je n'irai plus sans doute, ayant décidé de me consacrer à la Côte d'Azur juste. Quand il m'a soulevée, bras autour de ma taille, pour me laisser retomber sur son sexe dur et long, éclatant en vagues brèves dans ma "chatte".
Nous avons dormi côte à côte. Je l'ai sucé de longues minutes plus tard, lui redonnant un rien de vigueur. Je lui ai raconté mon projet arrivant à son terme, il ne m'a pas crue. "Plus personne ne voudra de toi", il m'a dit dans son français quasi parfait. Moi, je ne connais d'allemand que les quelques mots crus qui excitent les clients. Il faut m'entendre chuchoter " mein liebedich" à l'oreille ou le cou de l'un et l'autre pour comprendre que cette langue me demeure étrangère.
Peut-être. Mais voir ce corps finir de s'insinuer femelle. Etre Liane tout à fait. Liane exactement! Cela me devient irrésistible.
de retour de Berlin
Mais je dois assurer aussi. Satisfaire les copains qu'il décide de recevoir le temps de mes séjours. Possible que je n'y retourne pas. En effet, chaque fois, j'en reviens abîmée. Néanmoins, j'y retourne, j'aime ses sensations d'éveiller l'autre, de l'allumer, qu'il joue avec moi, me dise des mots crus, me frappe, me claque. J'aime ça. Si j'osais je serais percée de partout et avec des tatouages. Un tatouage que j'avais tenté, un beau papillon, m'avait rendue malade et je n'avais pu poursuivre. Quant aux piercings, j'en ai tenté ici et là, mais j'ai toujours hésité à aller au bout. Bref, il n'y a qu'au lit et en privé que je donne tout ce que j'ai.
Et j'ai assuré. Deux par jours, minimum, pendant une semaine. Sans compter que K bande dur quand j'assure comme j'ai assuré.
S'il l'avait proposé, j'aurais pu même lui appartenir tout à fait. Mais il a pas fait. Alors, je pense que je n'y retournerai plus.
salope hard
Griffée mordue, sa queue collée entre mes fesses, sa queue crevant mon cul d'un coup de reins, il me chuchote des mots durs dont je ne comprends pas le sens exactement, mais dont le ton me fouette. J'aime entendre pareil son métallique tandis qu'il va et vient dans mon cul et que ses doigts griffent ma peau et que ses dents me prennent à la nuque à la gorge à la nuque de nouveau tandis qu'il se répand en moi que son sperme m'inonde cul et cuisses de sa chaleur.
L'Allemagne. Une destination que je ferme pour un temps. Pour un temps, revenue en France, au-dessus de Nice, où m'attendent d'autres aventures.
J'étais donc revenue à Karl dans cette pensée. S'il me revient, ce sera lui qui fera le voyage désormais. Mais il aura bien d'autres opportunités que moi, j'en suis sûre. Aussi, je voulais que cette rencontre soit une fête de tous les sens. Une fête inscrite en chacun de nos corps pour un temps.
Nous avons donc passé trois jours à baiser dans une chambre d'hôtel dans Berlin. Dès le début, il m'a marquée de différentes façons. Mais je le voulais, je le voulais très intimement. Je voulais le sentir en moi un long moment. Aujourd'hui encore, alors qu'il y a presque une semaine...
Je le sens en moi toujours. Mon corps est rompu encore de ses traces. Il m'a fait mal mais je voulais pour qu'il dure en moi un temps encore. Il m'a mordue à différents endroits de ma peau, m'a fait mal aussi me labourant sauvage cul et bouche. Mais j'ai joui autant qu'il a joui.
J'ai joui au point de demander grâce. Grâce qu'il ne m'a pas accordée.
Baisée
Lundi 2 Mai. 15 heures. Le rendez-vous. Je reçois. Matinée à tourner. Midi, je me fignole. Le cul à l'air. Comment sera-t-il ? Aux environs de quinze heures, une moto. Le bruit d'une moto s'éteint au-dessus. Silence. Est-ce...? Des pas dans les marches.
Grand. BCBG. Le cheveu gris. Moustache brève, en brosse, grise. Il me regarde. Moment toujours de tension. Il zippe son blouson. Veste, chemise, cravate. Signe que j'approche. Bisous du bout des bouches.
Ses bras, ses mains. Autour de moi. Robe relevée. Mon cul dans ses mains. Bisous, bisous. Ses yeux, ardents. Ironiques, un rien. Ses doigts.
J'ai sucé ses doigts. Il a pesé à mes épaules. Accroupie, j'ai fait ce que je sais, ma bouche emplie. Longue fellation. Langue à ses couilles. Bouche à ses couilles. Bouche pleine. Larmes.
Mes doigts aussi. Mes ongles. Mes dents. Ma langue. Mes lèvres. Ma bouche. Mes doigts tapotant doucement, tandis que dans ma bouche.
Il a jailli. Âpre, acide. Ses mains broyant mon crâne. S'est retiré. Rajusté. Rhabillé.
Suis restée accroupie, tête baissée. A récupérer. Le bruit des billets glissés à cette même robe violette que sur le cliché.
J'ai espéré un autre. Puis dans la pénombre, le lit prêt, allongée, j'ai repensé à. Mes doigts ont fait le reste.
Mercredi 4
Quand ils reviennent...Ce sentiment, accomplissement, fierté. En ce peignoir, ainsi qu'il demandait. Cette fois, il voulait ce qu'il n'avait eu encore.
La chambre. La pénombre. Le lit. Le corps dénoué. Le cul. Protubérant. Offert.
Son sexe. Il est entré très simplement. Pas toujours aussi simple, je me contracte parfois. Entré, il a bougé. Mes pieds entre ses mains. Brouette ?
Il a giclé. Je n'ai pas senti. C'est lui qui. Se retirant. Baisers à mon cul. Baisers à mes plantes de pieds. A mes pieds.
Il a glissé dans la salle de bains. S'y est débrouillé. Me suis refaite une beauté. Attentive à ce visage dans la glace.
L'ai rejoint. Intimidée par ce corps, cette aisance, cette évidence.
On se reverra, il a dit. Son visage sur le mien à travers la glace au-dessus du lavabo.
Les billets posés parmi les fards, la poudre.
Bisous. Sourires. Parti.
Le bruit de ses pas dégringolant les marches.
Heureuse, je suis retournée au lit. Son odeur sur le drap. Des traces de son. Sperme. Mes doigts caressant ma peau à l'endroit où. Gluant de son. Sperme.
J'ai joui doucement.
13 Mai 2022
L' Allemagne derrière moi désormais. Il faut sinon se réinventer se remodeler une vie. Ces derniers temps, j'ai fait exhib sur StripChat et j'ai été pas mal sur Facebook où je me mise en avant pas mal sur ma page.
Néanmoins, et quoique loin très loin de mes moyennes quand j'étais en Région Parisienne je reçois toujours.
Cette fois, ce 13 Mai donc, c'est un marocain d'origine, la soixantaine, qui s'est présenté à ma porte. Petit, grassouillet, des yeux noirs, une petite moustache bine fournie noire. Sans façon, il a défait son ceinturon, baissé son pantalon, tiré son sexe de son slip un sexe long et brun, déculotté et m'a indiqué de le sucer.
Je me suis accroupie et, son sexe entre des doigts, je l'ai sucé et j'y ai pris goût.
Quand il a giclé, j'ai avalé son sperme, un sperme crémeux et âcre.
Une fois vidé, il m'a poussé son sexe de nouveau dans ma bouche. Et j'ai dû de nouveau le sucer.
Cette fois, ce fut plus long, avant qu'un filet de son sperme me mouille l'intérieur de la bouche.
Une fois fini, il a remballé son sexe dans son slip. Posé sur la petite table un billet et un autre. Un bref sourire, un baiser du bout des lèvres à mes lèvres. Parti.
15 (sic) mai 2022
Un sur StripChat. Je l'allume, il aime ça, il l'écrit. Il jouit, enfin me le dit. Il demande un rendez-vous. Délicat.
il m'envoie un mail plus tard sur ma boîte Hotmail. Réclamant un rendez-vous. Du réel.
Mercredi. Enfin, oui c'est ça. Mercredi soir. Vingt et une heures à peu près. J'avais eu à m'absenter. J'étais lasse. Je pensais que ce serait un "lapin". Ce n'aurait pas été le premier. Surtout ainsi. Mais non, il est venu.
Un rouquin mal fagoté. La quarantaine peut-être. Sentant fort la sueur. Des mains incrustées de noir. Regard direct. Assuré. Des yeux bleus.
Lui s'est assis. Tapotant une de ses cuisses, il m'a indiqué de m'asseoir dessus. Il a glissé une main sous ma robe , m'a saisi mon bijou, qu'il a roulé dans ses doigts.
"Tu aimes ? il a demandé, la voix rogue.
Iil faisait plutôt mal mais j'ai dit que oui. Il a continué un moment, puis m'a demandé de me tourner. Et il m'a trouée d'un doigt. A sec.
"Et ça tu aimes ?", il a prolongé. Bougeant le doigt, le sortant, reprenant.
j'ai secoué la tête pour signifier que pas trop. Il a continué pourtant. Le temps qu'il a voulu. Me donnant son doigt à sucer. Et s'amusant de ma sucette.
On est allé dans la chambre. La il m'a poussée sur le lit, de façon à ce que je lui sois de dos. Il a soulevé la robe, tiré le string et à la suite de son doigt m'a plantée.
Il s'est retiré juste avant de gicler. Sa giclure a été sur une de mes fesses. Il s'est essuyé dessus. J'ai senti ma peau mouillée et un bref instant tiédie.
il a remonté son falzar. M'a dit que j'étais une bonne pute. A posé le billet sur la table de chevet sur des livres. Je suis restée dans la même posture, cul par dessus tête.
Je l'ai entendu partir. Je me suis glissée dans les draps. Et dune main lente, la tête pleine d'images récentes, j'ai joui.
Hier soir, 21 mai 2022
StripChat de nouveau. Beaucoup qui se rincent à l'oeil sur les trois cents à peu près un peu plus qui suivent mon show. Nue, je me pince les seins, me caresse les tétins - nipples comme beaucoup disent - je me tourne, creuse les reins, enfle mon cul. Fourre des doigts. Feins le plaisir. Quelques shows privés. Et puis j'arrête. Un autre rendez-vous peut-être.
Puis je vais sur Facebook. Et là je fais cam avec un qui demande. Et je mime une fellation. Jusqu'à ce qu'il se fasse gicler.
Et un autre. Pareillement.
Moi, j'attends toujours mon prince charmant. Sera-ce JeanJean ? Il m'a déjà posé deux "lapins" à l'automne dernier.
Entrez un titre pour cette partie
J'aime ce parfum âcre de sueur de celui que je déshabille en même temps que je lèche suce ses poils sa peau descendant doucement à la fourche des jambes et avalant le doux reptile qui déroule dans ma bouche et ma gorge. Après c'est lui qui prend l'initiative, me guidant d'une pression de main juste ou par une claque avant de s'enfoncer et se répandre en moi. Alors, c'est fini et tandis que je retouche mon maquillage il file dans la salle de bains et ressort habillé avec juste l'angoisse que du rouge demeure à ses lèvres ou sa peau.
Amour ?
La question est....?
Opérée, pas opérée ? La question que je me pose. Je la pose aussi à André par téléphone (André est un très vieil amant à moi, du côté de la région parisienne) Il y a des années il m'avait dit surtout de ne jamais me faire opérer, que ça faisait perdre tout intérêt des hommes pour les trans....Le temps a passé...Je n'ai plus autant d'amants qu'alors...Les visites se raréfient...Bien souvent, il me faut me caresser sur mon grand lit pour apaiser mes faims. J'aime me titiller les bouts de seins, ils sont sensibles très, mais bon, j'aimerais davantage une bonne bête à cajoler et à m'emplir. Je me suis approchée d'un "mari" possible. En même temps, j'aime trop cette vie débridée de pute. Alors, je me dis : Opérée ou pas ? Dernière étape.
PLAISIR
Alors, comme le suivant ne s'annonce pas, il faut calmer ce feu. Alors, c'est le leurre que je prends. Et avec lequel, images qui me reviennent de l'étreinte passée, de ce qui a eu lieu, j'apaise longuement - ou très vite - ce feu qui me consume.
salope
Ce vieux monsieur, blond mais virant au blanc désormais, je l'ai rencontré dans un des clubs que je fréquentais à Paris surtout. Il avait été brièvement un parmi d'autres que je suçais à la file quand ils ne m'enfilaient pas à la suite. Il avait été tendre et attentionné, le peu de temps qu'il m'avait fourrée de son sexe pâle et le gland recouvert de sa peau. Après, un black l'avait remplacé, une longue et belle bite black et j'avoue que j'avais zappé son passage
C'est en fin de soirée, c'est-à-dire au matin, qu'il était revenu me voir, glissant sa carte dans ma pochette.
Je l'avais revu à l'adresse indiquée. Un appartement charmant dans le septième, du côté de Jasmin. Il parlait cru et m'avait humiliée de ses mots, avant de me donner la cravache. Ainsi, il m'avait conquise. Me faisant jouir de la pointe de la cravache avant de me reprendre en main et me donner mon plaisir de sa main impérieuse, m'obligeant à admettre tout un tas de crudités que j'ai tendance souvent à recouvrir de beaux mots.
Je suis partie du côté de Nice. On se téléphone. On se voit par vidéos interposées. J'aimerais qu'il me rejoigne parfois, il ne se déplace plus guère.
Ce soir d'Avril, j'avais faim. Une étape de ma vie cessait avec ce renoncement à l'Allemagne. Ils étaient quatre en plus de mon ami. Je me suis offerte à chacun, séparément, en duos, en trios, et tous ensemble sous le regard de la femme.
Bien sûr, entre gens d'un même monde, pas de photo, ni vidéo. Je regrette. Je reverrai cet ami seul, et là il saura me faire jouir des photos saisies à différents moments de notre étreinte.
Je suis repartie en début d'après-midi en train pour Nice.
suite du rêve
J'ai beau être pute, j'ai un coeur, chaque fois, qui fait boom. Et un homme qui serait un habitué, au-delà de ceux qui viennent une fois, deux fois, quatre fois et puis plus rien. J'aimerais bien!!!
Vais je retrouver beau gosse?
Revoir beau gosse. Sentir sa bête dans ma bouche. Sentir son sperme sur a langue. Avaler sans coup férir une deux trois jusque sept fois sa liqueur;; J'hésite car il sollicite beaucoup. Mais aussi ma main se porte à mon bijou dès que la pensée revient. Je lui ai écrit j'attends donc.