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Liane

POUR VIEUX MESSIEURS DISTINGUES ET COURTOIS

Je suis Liane, une française transsexuelle



My name is Liane and I am always up for good time. You just need to join me on a live chat and I am pretty sure we can find a way to share good moments !


I am now 45 and I live near Nice I like to explore my sexuality and I'm fascinated with the idea of being watched and older guys excite me.


Je suis française et très coquine, dans l'arrière-pays niçois où avec ma bouche velours. On peut me voir sur stripchat certains soirs. Où je ne veux que votre plaisir.


i know you dream fucking me. And i want your dream is real.


I have balls because men fond of balls;  I know that ant others things about men.

Taste me and come back


Vous voyez peut-être comme ma bouche est vigoureuse et tendre. Elle n'a de sens que dans le plaisir qu'elle procure et vous procurera chaque fois que vous viendrez la retrouver.


I'm kinky with kinky mouth and my mouth is for you old guys.


Ma chatte aussi vous est acquise. Ses parois roses et pourpres et chaudes et lisses valent le détour.



enter in live chat with me

When I am on webcam adult chat, I like to chat, laugh and play with my body and toys.
When I am on webcam, I like to chat, laugh and play with my body and toys. J'aime que vous jouissiez de me voir selon vos désirs. Je sucerai devant vous une grosse bite sextoy comme si c'était la vôtre. Venez m'emplir de vos spermes.
Liane

Chat with me

I'm waiting for you and I am always ok for trying new position, new toys, and new sexy experience.

Telle que je me propose

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Blow job xx
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Even more explicit sexy pics for family & friends, please consider gifting one months flickr gift pro to access all pics and keep our flickr pro membership going. Thanks, Sophie xx
192902 months ago
Tantalizing tongue twisting
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Oh, how I love a man with excellent French kissing skills!
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The Most "Ovah" Pictures From Inside the Celeb-Studded Love Ball III
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Amanda Lepore
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Je suis chaude partout et vous ?

Hier soir, en pensant ce week end à venir, je me suis caressée doucement, seins et chatte, je me suis enfilée un ...une...je ne dis pas plus à vous de voir cochon! et puis ma cam est reportée...because mauvaises photos d'identité...J'en suis toute irritée et en colère...Je bous...Ma bouche si douce si tendre accueillerait bien plutôt qu'un ou une..une bonne douce bite juteuse...

...
Voilà c'est ce que je voulais vous dire mes cochons et puis vous excitez un peu les sens et le sexe, afin qu'il darde dur à mes photos, ma peau douce, mes seins, ma chatte....ma chatte rouée vous vous en doutez n'est-ce pas ? 


...Ce janvier 2021  reçu. En dernier lieu un Daniel que je semblais exciter, qui en définitive se sera mal conduit. Du coup, un autre rendez-vous par LadyXena n'a pas eu lieu, trop perturbée, j'ai préféré annuler plutôt que connaître autre mésaventure - Qui sait ?


22 Janvier 2021, à Berlin, chez un particulier, qui m'emmène depuis l'hôtel sur sa moto. Je connais pas si bien que ça Berlin et j'aurais pas été capable de retrouver mon chemin. Il a le look motard et me baise vite à même une table où débout il me plie et me prend. Retour à l'hôtel trois heures après. Cassée mais il s'est montré good boy.


Février. Deux rencontres. Avec ma bouche. Reviendront-ils ? A voir


Berlin de nouveau. Ils étaient deux cette fois, le même et un copain m'a-t-il présenté l'inconnu. J'ai sucé l'inconnu pendant que l'autre me prenait ma chatte. Puis ça été l'inverse. L'inconnu avait une longue queue épaisse et très veineuse. Il m'a fait plutôt mal en me prenant, j'ai été un moment sans être prise. Dans le feu de l'action, j'ai passé outre et l'un et l'autre se sont finis dans ma bouche. Retour à l'hôtel précédent. 


Je devais aller à Oran. Le client a décommandé. Cette semaine, je suis du côté de Nice et j'ai plusieurs rendez-vous. J'en avais un demain, mais la décision du confinement dans les Alpes Maritimes empêche ce rendez-vous. Le client voulait passer outre, mais renonce finalement. Lundi, un "habitué" -  ce sera la troisième fois - puis deux autres. Il me reste du temps disponible, si certains passés ici veulent...Là, je vais pas tarder à me coucher. Stripchat s'avère décevant ces dernières fois que je my suis montrée. Bisous à tous.

Prise par trois

Un rouquin aux toisons odorantes. Un rouquin, vous voyez ce que je veux dire!

J ai dû tricher ces dernières semaines pour répondre aux rares invitations qui me viennent des divers sites où je m'affiche, mais je n'ai pas regretté ce samedi dernier, vingt quatre avril donc, où un musculeux m'attendait donc dans une maison de campagne occupée pour l'occasion, ainsi qu'il me le dira.

D'abord, j'aime la force, j'aime être menée, dominée même. Et ce rouquin aux toisons fort odorantes m'a vite amenée à jouissance en me pénétrant bouche et chatte chatte et bouche et les deux en s'aidant de doigts.

Il a fallu cependant que moi aussi je le mène à décharger avec ma bouche longuement. Après quoi, j'ai plongé dans un sommeil immédiat.

Mais il ne l'entendait pas ainsi. Après deux heures de repos donc, il m'a dit que le soir deux copains à lui devaient se joindre à nous. Et aussitôt il m'a prise de nouveau.


Et le soir, les deux copains sont venus. Et j'ai dû les satisfaire en plus de mon rouquin. 

Je me suis achetée un joli jouet pour les fêtes

Coquine
Votre texte ici ...

Bonjour mes amours


Je me suis achetée un joli jouet pour les fêtes. J'ai très envie de jouer avec vous. Et vous ? Retrouvez-moi du 19 Décembre au 26 Décembre 2019 pour jouer avec moi.

Bisous

A bientôt

LIANE


Je joue avec mon jouet sur stripchat, le site exhib de shemaletube. Venez m'y voir quand je ne suis pas sur xcams

DOUCE CHATTE, follow me on stripchat

https://stripchat.com/LianeDargueil/follow-me
bonjour


Je suis chaude. Ma bouche est un vrai nid pour. J'ai une grande expérience. Venez me voir, vous ne serez pas déçu..Avec ma langue et mes dents très douces je vous ferai venir...Venez m'essayer

chatonne

enveloppez moi

sur mon lit d'amour

chaude mais chaude
Il en reste quelques traces, pas autant que j'aimerais montrer. Car j'aime me montrer.

Je me suis préparée

en vain.
Votre texte ici ..


Un rendez-vous à 10 heures 30 depuis un de mes sites d'annonce. Cela s'était fait très vite, en deux mails. Ce matin, 8hs18, un sms pour me dire : "désolé, impondérables peux pas venir" J'avais oublié les jokers qui s'excitent à bon compte! Bec dans l'eau. Tant pis, tant mieux. J'étais si chaude. Douche froide donc. Le jour s'est levé, clair, piqué de milliers de petits cris d'oiseaux, un vrai fourmillement. Normalement, un rendez-vous en début d'après-midi. On va voir. Chatte échaudée craint l'eau froide. 

J'étais perdue

ne pensais plus qu'à
N'importe lequel. Je faisais ce qu'ils voulaient. Une vraie chienne, ils disaient par-dessus moi, tandis qu'à tour de rôle j'en suçais un je suçais l'autre et que celui pas sucé me prenait la chatte et inversement.

Mon voisin m'épie

Hier, incidemment, je regardais au-dehors. J'ai vu alors perché au premier étage de sa maison un visage qui regardait...
Votre texte ici ...
Oui, un visage regardait dans ma direction. Or, ce matin, je regardais par ma fenêtre et, de nouveau, au même endroit, de biais, un visage regardait vers chez moi. Etait-ce le même visage ? Je ne sais car je me suis écartée très vite, agacée et frémissante à la fois. Je ne sais rien de mes voisins, ni évidemment de celui-ci, sinon qu'ils sont d'origine maghrébine ( comment pourrait-il prendre ce que je suis ?) et jeunes. 

Je me suis écartée, mais enflammée aussi. J'attends maintenant mon rendez-vous, il viendra vers 15hs30. J'espère que je ne serai pas épiée encore. Je n'aimerais pas qu'on bavasse sur moi, dans le village.

oui j'en suis toujours à

sucer sucer sucer
oh oui.
gorgée de spermes gonflée d'hormones
putain quoi!

Pour autant je n'en délaissais pas d'autres

accroc aux blacks je savais aussi faire bouche de velours ailleurs
Celui-ci fut un fidèle, de jour, de nuit. Chaque fois, c'était un flot de sperme que j'avalais. Le plus fut une après-midi où sept fois j'avalais...
Dois-je ajouter ? Si vous n'êtes pas convaincus...

L'autre nuit....

C'était dans le temps d'avant covid


Oui, c'était avant ce funeste treize mars 2020. Sur la promenade, dans les rues avoisinantes en tout cas, on pouvait se proposer. J'y ai fait quelques fois la putain, dans le bruit des vagues, le roulis des galets, quelques fois. Une nuit, c'était du côté de l'avenue des fleurs, l'avenue, la rue je ne sais plus. Bref, une travestie est venue à moi me demander une cigarette. Des heures qu'elle tapinait pour un client juste, quelques voyeurs. Je n'étais guère mieux lotie avec mes deux vite faits dans un recoin d'ombre avec la trouille d'être surprise et mon client avec moi. On aurait été dans de beaux draps. Heureusement, l'endroit est assez désert et, plus haut, sur le boulevard Gambetta, il y a des prostituées tant et plus et donc, je ne sais pas si c'est toléré ou quoi. Bref, j'avais pu sans problème. 

je suis passée ainsi de Main en Main

j'allais faussement percée mais percée de partout et la peau couverte de tatouages que selon l'homme j'enlevais à l'eau pour un autre

Il est venu lui

il est venu et accroupie je l'ai sucé. Il m'a entraînée vers le lit mais a joui trop vite. Après, je l'ai repris en bouche. Mais il était pressé. Une autre fois, a-t-il dit...Ajoutant : "...C'est toi qui es gentille"


Je crois que je suis amoureuse.

J'étais donc à qui voulait

et ce plusieurs années durant
Jusqu'à ce que je comprenne
que j'étais femme définitivement
à baiser par tout homme

ce 15 Avril 2021

un amant par TOPBabeEscort

Paris. Je retrouve un amant du temps de mon blog sur erog, quotidien d'une trave entravée. Il a tapé liane dargueil et a trouvé le lien avec TopEscortBabe pour me joindre. Je retrouve sa fourrure, son sexe long et capable de jouir plusieurs fois dans ma bouche. Où ? Dans un hôtel du côté de la gare de Lyon. Il jouit trois fois dans ma bouche. Quand il repart, je suis affamée. Encore et encore.

Et donc....

Un moment délicieux

j'étais alors en région parisienne


Je suis seule aujourd'hui, la bouche pleine encore du sperme avalé, il y a quelque temps, entre Lille et Paris. Cette pensée me ramène à un que j'allais voir du côté de la porte d'Ivry;


Il habitait une tour, au dix-septième étage. Depuis ses fenêtres, on touchait les nuages. Il ne fallait surtout pas se pencher ni avoir le vertige. Il s'appelait André, avait un visage dur, des yeux froids derrière des lunettes. Je me rappelle, la première fois, j'avais eu peur. Il avait aussi un sexe tout blanc, couleur mastic, énorme. Des couilles de taureau, comme j'en avais vues, adolescente, avec le sentiment d'un vertige tout d'un coup, le désir d'y aller voir de plus près et aussi la terreur de la bête, de son regard figé sur moi. Comme si elle comprenait.


Quand j'ai eu dans la bouche son sexe énorme, couleur mastic, goût fade, j'ai senti en moi tout céder, n'ayant plus que le désir de le sucer, de satisfaire mon hôte.

J'ai sucé et sucé et sucé très souvent, jusqu'à ce qu'il m'interdise de revenir, du fait qu'il craignait pour son hygiène, depuis qu'il me voyait partout sur de très nombreux sites à m'exhiber et m'offrir. Cette fois-là, je l'avais eu dans la bouche sans rien, quand souvent il s'avançait couvert. 


Il bandait tant et plus. Je le faisais bander, mais il n'éjaculait plus, après une opération. J'ai voulu le reprendre en bouche, il m'a giflée à la volée plusieurs fois. Je me suis retirée. Néanmoins, une fois que j'ai été debout, il m'a demandé de m'asseoir sur ses genoux et, exigeant que je le regarde dans les yeux, il m'a branlée - m'a traite, comme il disait. Et j'ai giclé très vite.


Et plusieurs fois. Quatre en tout, durant le temps chez lui. Après quoi, il m'a dit de  partir et plus jamais il n'a répondu à mes mails, mes appels. Et je ne l'ai plus jamais revu. Même à LA MAISON DU TRAVESTI dans le dix-septième où il avait ses habitudes pourtant.

Un moment délicieux (suite)


Vous voyez, j'étais sans poitrine alors, elle poussait à peine, il m'en faisait assez reproche. Mais il aimait mon cul, bien que se refusant à le pénétrer - sa trouille toujours d'attraper un truc - se contenant de jouer de ses doigts qu'il me faisait sucer ensuite.


Il faut que je dise encore que son sexe m'avait subjuguée et que, si j'allais à bien d'autres hommes dans l'intermédiaire, je ne cessais de penser à lui, comparant ceux croisés au sien. Il avait une façon aussi de me "traire" qui ne manquait jamais de me faire venir dans sa main que je devais ensuite nettoyer.


Par la suite, j'ai rencontré d'autres hommes qui m'impressionnaient autant que lui, mais aucun, jamais, n'aura laissé en moi pareille empreinte que la sienne.

Une bonne grosse

Je me rappelle André patibulaire mais une bête! et me faisant ramper pour sa main qui me faisait jouir

C'était donc lui André

Ensuite...

Métro Jasmin. Sa langue enroulée à la mienne et tirant à l'arracher - angoisse de la sentir arrachée. Tu n'aurais pas envie que des messieurs t'installent et viennent te voir ? Tu as du chien, tu as un corps voluptueux, tu te sers fort bien de ta bouche, ta chatte est accueillante. De plus, tu t'exprimes bien, tu as l'air cultivée. Tu ne voudrais pas ?

Si. Mais. 

Mais quoi ?

Rien

Tu es en main déjà ?

Non

Quoi alors ? 

Rien.

Penses y en tout cas. Je peux t'arranger ça.


Ce n'est pas lui pourtant qui m'aura installée. Plutôt un qui ne payait guère de mine, n'habitait pas Passy, n'avait pas l'entregent de celui-là. Etrange quand j'y repense. Mais le corps, sinon le coeur, s'attache étrangement souvent. Celui-ci, ce fut par la cravache et le bondage qu'il m'attacha à lui. Et que, bientôt, il m'installa dans son studio minable.


Putain de Gérard

Gérard bel homme d'un âge certain distingué cultivé m'a contactée...En retour...
C'est en banlieue donc, à Nanterre, que je me retrouvai.
Voilà comme il m'avait réduite.
Comment il me tenait.

Comment je devenais...sa...

il me tenait ainsi je devenais sa bête en quelque sorte sa bête de compagnie
J'étais à lui et j'aimais ça.
C'était cela oui

Pour Jean-Charles

Jean-Charles m'a contactée via LadyXena. Echanges brefs de mails. Rendez-vous. Il est venu un soir tard. Je me suis exhibée pour lui et puis...Pénombre, étreintes, lit...Il est venu dans ma bouche...Il reviendra, m'a-t-il dit, en partant...

Une soirée tardive sur STRIPCHAT

J'avais rv sur stripchat je me suis préparée pour...

prête à

Au plaisir

ma chatte pleine

on peut lire encore sur ma fesse droite tracées au cutter les initiales de mon meneur d'alors. Et aussi ce beau tatouage éphémère qui disait ce que je suis

Un week -end délicieux

J'étais encore en région parisienne, un m'invita à Cergy Pontoise. Il habitait une rtout ce temps ne cessa de me donner à sucer son membre et aussi à m'emmener au lit.ue au nom délicieux, rue des Brumes Opalescentes. J'y aurai passé un délicieux moment avec lui qui
Je me souviens du train pris à La Défense par lequel...Je me souviens de rues en devenir avec des jardins pas finis...Je me souviens de passer par la salle de bains avant de le rejoindre et que...Je me souviens...

Avec d'autres

putain

pour vous

photos de nue pour vous mes....

selon leur désir

donnant du plaisir à un

Rouquine

En rouquine bouche pleine

A la queue leu leu...

Une boîte dans le XIV ème parisien...A la queue leu leu je prenais...

Gorgée de spermes

Une journée comme j'aime. J'ai fini par ne plus compter.

et d'autres

black master

ah ce goût ce contact!


une visite

L'homme est là, rond et velu. Je touche sa ceinture sa braguette. Mes doigts défont son sexe. Je m'accroupis, son sexe dans ma bouche. Ah ce goût, ce contact, le gland si doux soyeux la mouillure qui deviendra flot tout à l'heure si ma bouche ma langue. Ses doigts je veux que ses doigts me pétrissent. J'aime qu'il soit sale avec moi, j'aime ses mots crus, j'aime sa façon de plaquer sa main à ma nuque. Je veux que sa queue sorte de ma bouche pour plonger dans ma chatte mon cul. Je suis mouillée tendre déjà. Il me donnera sa queue ensuite à lécher et sucer de nouveau. Il a jailli dans ma gorge. Il est parti aussitôt. Le billet qu'il laisse n'est jamais que le prix de ce vide qui me vient avec mon désir jamais assouvi vraiment

un amant

Fistée

Fistée aussi

Fellatrice et autre

moi, en action

J'aime ça

Le sexe à haute fréquence. Le sexe qui sue et crache. Le sexe aux parfums fades aux parfums âcres. Le sexe en bouche. Le sexe en chatte.
Ils furent tant et plus. Alex était trop tendre, sinon je serais restée plus longtemps, il maniait la cravache et aussi savait m'attacher de ces liens diaboliques. Il aurait été plus ferme, plus sexe...Mais j'ai voulu davantage, et cet autre savait si bien me réduire à son sexe. Après, j'ai continué par moi-même, multipliant les rencontres, recevant, me rendant. Un me retint quelque temps du côté de Pigalle, je ne rendais pas assez. Il me rendit à moi-même. Un voulut m'établir. Un autre. Mais non.

Rendez-vous

pour un rendez-vous avec un beau niçois

vous aimez ?

Peaux mouillées

ce juillet 2021.


Pas facile d'agripper le client. Je ne dirai pas, ces temps-ci, car ce n'est jamais facile. Ces dernières semaines, si j'ai eu quelques touches, dont une en Allemagne où je suis parfois, j'ai surtout eu des rendez-vous sans suite et, pire, des lapins. Néanmoins, entre mes exhib stripchat et quelques uns qui me viennent. Mais ce n'est pas facile. Hier soir, assez tard, un petit gros tout en poils, verres épais sur le nez. Il voulait surtout me regarder avant que je le branle et le suce pour finir. Assise face à lui, après avoir mimé caresses sur mes seins et mon bijou, j'ai branlé de mes pieds son engin plutôt imposant. Je mouillais tant et plus sous son regard, il me tenait les chevilles entre ses mains et par moments me caressait les mollets et plus haut. J'avais peur de jouir avant lui, cela fait toujours mauvais effet. Mais j'ai tenu bon, en serrant les dents. Après l'avoir donc branlé de mes pieds, j'ai basculé vers lui et ma bouche a pris le relais. Il est venu très vite, me fixant par la nuque à son sexe tout le temps de se vider. Après, quelque peu essoufflée, je l'ai observé se rhabiller, poser des billets sur la petite table près des fauteuils, dire merci et partir. Depuis, silence. Le reverrai-je ? Je saurai les jours à venir.

Je voulais faire stripchat et puis non, trop fatiguée de ma journée.

une photo d'avant.

telle que je suis

avec un qui était un régulier

Moi, depuis que rentrée de Berlin

J'ai adoré être prise par deux mecs. Iil y avait longtemps...

A trois et plus si vous voulez

faire un bilan de ce début d'ETE.

J'arrache pages de juin et juillet de mon carnet 2021


Peu d'habitués ici en France et surtout ici dans la région de Nice où je suis. J'en avais quatre qui seront venus régulièrement mais de loin en loin. Un notamment que je croyais bien devoir garder une longue période et puis non, c'est lui qui fait faux bond ces temps-ci. Certes, ma beauté a fané et j'ai surtout du chien et de la bouche désormais. On aime cependant mon effronterie, ma façon d'être crue, et ma bouche vorace et sensible.

En Allemagne, quand je suis demandée, c'est souvent des séances sm, sauf pour l'amant de coeur que j'ai là-haut pour lequel je suis -comme il dit - sa petite femelle - nid douillet où il aime à semer.

ici, c'est ma bouche surtout, s'il arrive qu'un me prenne la chatte et s'y vide.

En ce moment, quatre voire cinq par semaine, c'est une bonne semaine. Sur STRIPCHAT, je m'efforce de séduire...Ce n'est pas si simple hélas.

j'aimais qu'on me prenne en photo dans l'action de putain

Aujourd'hui, ce soir.

J'aurais bien aimé. J'aimerais bien. Sinon, il reste un bon gode pour se tenir prête aussi.

fellations

Je m'étais Faite...

belle, enfin il me semble...
C'était en début de cette semaine, il n'était pas si tard, début de soirée, un nouveau qui depuis LadyXena m'avait écrit mail et j'avais répondu. Comme chaque fois je n'étais sûre de rien, surtout pas de sa venue. Il devait être vingt et une heures passées quand on a frappé à ma porte. Un coup impérieux qui m'a fait hésiter. J'ai ouvert cependant; un grand type costaud, chemise blanche sans cravate, costume clair. Il m'a regardée, son regard m'a lentement enveloppée, il est entré, a refermé la porte. A saisi mon bijou, enveloppé de sa main. Ai-je geint ? C'est possible. Dans ses yeux un rire moqueur a passé. 

"Tu mouilles drôlement ma belle!, il a dit, me branlant un peu. 

J'ai dit oui en hochant la tête, cherchant dans ses yeux son sentiment exact. Mais il a renoncé, en s'essuyant la main à ma robe. "Montre-moi maintenant ta bouche velours. Puisque c'est ta marque selon toi." il a dit sèchement.

En tremblant quelque peu, de crainte de décevoir ce bel homme qui savait me parler, qui touchait droit au coeur, je me suis accroupie, agenouillée ensuite. Mes ongles rouges ont détaché sa bête de son habit et je l'ai sucée sans répit, y ajoutant doigts et ongles aux couilles, ainsi qu'on m'a appris. Après un long moment, il m'a tiré la tête, m'a dit de me relever. 

Où est le lit ? il a dit.


Dans la chambre, il a tiré la robe et m'a broyé un sein et l'autre, y posant lèvres et langue et dents tour à tour. 

"Pas mal, il a dit, faudrait qu'ils poussent un peu plus quand même." il a souri maléfique disant ça. 

De nouveau, je l'ai sucé. Maintenant, il était allongé sur le dos, jambes en dehors du lit, jambes écartées. J'ai pensé qu'il allait venir dans ma bouche et partir. Il n'avait pas l'air pressé cependant. Un autre viendrait plus tard, s'il me laissait un dernier message, que je n'y répondais pas, il renoncerait. Je n'ai rien dit cependant, suçant encore et encore.

Enfin, il m'a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit, m'a dévêtue entièrement, en me trouvant trop grasse. A claqué mon cul, "un vrai cul de truie!", son commentaire. Quand il a été très rouge, très chaud, il m'a tirée vers lui. S'est enfoncé en moi, faisant mal. A bougé et jailli assez vite, déposant un baiser à mon cul.

C'était bien bon, il a dit, je reviendrai.

Un gros billet sur la table. Un sourire rapide. Porte ouverte, refermée. Parti.

Suis restée subjuguée longtemps. Avant de réagir.

Cet Août 2021


Je risque pas d'oublier. Je me relève écorchée en sang. Jambes qui flageolent. Tout avait commencé comme d'hab. Bien sûr, c'était un nouveau, mais ils sont toujours nouveaux la première fois. Pas très grand, plutôt rond, âgé moyennement, à demi chauve cependant, un sourire certain, des yeux marrons, un visage plutôt agréable. Chemisette, jean, tennis. Je lui ouvre, il entre. Je le laisse me regarder, j'attends le verdict habituel. Il s'approche. Baiser furtif. Il m'enlace, me touche en travers de la jupe. Relève celle-ci, dénude mon bijou, le branle. Malicieux. Je mouille. S'essuie à ma jupe. Il dit : Ok. Les conditions ? Dites par mail. Ah oui! Il donne. Je prends. Il m'entraîne. Me bouffe la bouche. Me plie contre lui. Son sexe dans ma bouche...


Me retourne. M'abandonne. Descend ma jupe. Tire le string. Mains aux hanches. Pousse son sexe. Pousse son sexe dur. S'enfonce malgré. J'ai mal, serre les dents. J'ai mal. Il va et vient. J'aime, j'ai mal. J'ai mâle. J'aime. Sort. Me retourne. Ejacule sur mon visage. Sort de la chambre. Salle de bains. Douche. J'entends. J'ai mal. Je mouille, me touche : Du sang. Me relever. Dur. Jambes vacillantes. Rogue, il dit : c'était bien. Tu es exactement ce que je cherche. Une soumise." Je dis rien. Il va partir. Il part. Depuis je me soigne. 

To my Berliner's

je suis rentrée de Berlin le corps amoureux

Une photo de moi


Pour un qui doit venir. 

To my berliner's

Je suis là dans cette ville qui n'est pas mienne, qui est froide, comme je trouve ceux et celles que je croise, mais ils sont peu nombreux, puisque, descendue du train, je file à l'endroit du rendez-vous donné, le nez dans les indications que je me suis faite;
Néanmoins, j'ai froid intérieurement à ce voyage, ce rendez-vous, toutes choses nouvelles pour moi. Et je ne parle pas la langue, juste quelques mots.

Ich liebedich je voudrais dire, je n'ose. Mon accent. Et puis une pute qui dit ça, c'est déplacé, c'est ridicule. J'aime sa moustache, elle me tire des frissons. J'aime être à califourchon sur sa grosse moto accrochée à lui, sentir le cuir froid et lisse, le poids froid des chaînes. Je les imagine, j'imagine ces dernières croulant à ma peau, la caresse froide, le poids qui résonne en moi. Tout à l'heure, je vais sentir dans ma bouche le poids de son sexe, le poids de ses boules. Je vais lécher et sucer, sucer et lécher jusque son sexe fondre en ma langue et ma bouche.
Je ne savais pas qu'il y aurait un autre. Un ami de lui. Un qui m pénétrerait aussi, autrement que lui. Je ne savais pas.
Quand nous sommes retournés à l'hôtel, il - Werner, je crois - j'ai demandé qu'il me suce, j'ai pas supplié, mais j'aurais pu. Qu'il me suce. Et j'ai tout fondu dans sa bouche. Je crois pas que j'aurais pu tenir sans ça, sans faire acte insensé.
Depuis, je voudrais sa chaîne.
C'est le même.

Un soir à attendre

il est déjà venu

une fille comme moi peut-elle aimer ?
Il y avait un certain temps. Il m'avait envoyé sa photo. Belle gueule, j'avais pensé en la recevant. Maintenant il est là et me sourit de ses yeux bleus. Je le reçois, je l'invite à boire mais je n'ai que jus de fruits et eau à proposer. Il prend un jus de fruit et me regarde. Je suis en tenue recevant. Je le laisse me regarder à loisir. A un moment je me lève le rejoins passe derrière lui pose mes mains à son torse. Il sent bon. Une de mes mains descend, ne peut s'empêcher de descendre. Il est dur sous son jean. Je passe la main doucement dessus autour. Le ceinturon est compliqué à ôter. Il m'aide. Je déboutonne le jean je tire la braguette. Sous le slip, le sexe bouge. Je glisse ma main entre le slip et la peau. Il frémit. Ma main a faim, ma bouche a faim, mon corps à faim. Je dis de ma voix trop rauque : On peut passer à côté ? Il acquiesce. Dans la chambre, je poursuis ma caresse. Il se dégage, je dévêts. J'ai envie de ses mains à mes seins qui poussent. Je plie les jambes lentement ma bouche est contre son sexe dur. Il pose une main à mes cheveux. Je prends son sexe dans ma bouche dirige le sexe de mes doigts. Je suce, j'ai son goût en bouche. Il s'assied au bord du lit, je le suis. Je veux ses doigts sur moi que ses doigts me pénètrent me plient selon ses désirs. J'ai envie qu'il me froisse la peau de ses doigts durcis. Qu'il m'impose ses désirs. Qu'il me troue. Nous sommes tête bêche son sexe dans ma bouche sans cesse. Et puis il se cabre se crispe son sperme jaillit et je le laisse rebondir dans ma gorge la langue mouillée que j'aimerais lui tendre. Depuis, ses yeux bleus me traquent, au détour de rien, j'ai son désir en moi. Est-ce que je l'aime ? Quand il vient, je veux être la plus belle possible. Et plus encore.. 
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Baisée

Les jours passent heureux moins heureux avec rencontre ou rencontres parfois sans. Le bonheur pour moi est d'être baisée et reconnue ainsi comme putain
Avant-hier, le 19 Février 2021, une touche par STRIPCHAT, elles sont rares par ce biais, il est vrai que s'exhiber ne conduit pas forcément à...Un jeune homme, 24 ans, black, de passage pour le carnaval de Nice. Je dis pas non. Il ne me donnera pas comme je demande mais bon. Yan me manque et aussi celui-là qui venait me prendre sur mon lit sans que jamais je ne voie son visage. Alors, j'ai dit "ok". Beau jeune homme, en jean et t-shirt sous une veste de cuir, casquette aussi. Toujours incertaine quand un visiteur...Mais ce qui l'intéresse n'est pas tant moi ou le physique que je peux avoir. C'est ma bouche qui l'intéresse dès qu'il sort un sexe plutôt long si pas trop épais à même le jean (ne porte pas de slip) dans sa main il le déroule et me le présente. Ah le poids dans ma bouche et aussitôt dans mon corps par ma bouche. Il gicle vite, goût acide. 


Et l'on recommence. Gicle de nouveau. Puis m'entraîne dans la chambre, sur le lit et me prend. Pas si simple. Un peu de gel, ses doigts. Il s'enfonce enfin. Cela va durer car il en veut. Et je ne dis pas non. Je sais reconnaître mon plaisir. Il me prend en me caressant me pétrissant me bousculant sortant revenant me reprenant la bouche retournant à ma chatte. Je ne suis plus que son mouvement, je m'abandonne, je geins même. Il gicle je le sens dans ma peau par les brèves et courtes secousses.


Il se retire. Réclame ma bouche encore. Je suis lasse mais je fais. Il voudrait aussi que je le prenne mais je ne peux pas. Ne peux pas. Gorgée d'hormones je peux plus. 


Il part. Il est tard. Il reviendra peut-être. Il est content. Bisous. Je vais rêver de lui et me caresser rêvant de lui.

Ce que j'ai fait jouissant à mon tour.

Croyez-vous qu'une putain....?

récit d'une...pute...
oui, croyez-vous qu'une putain puisse être amoureuse d'un client ? Ce qui m'arrive. D est revenu avant-hier, la cinquième ou sixième fois, les fois que je suis en France, et non en  Allemagne où je suis désormais souvent. Visage bronzé, yeux bleus plus bleus du bronzage, sourire amusé, petite moustache. Nous sommes allés aussitôt dans la chambre. Baiser, long baiser fougueux. Chaque fois, il me semble qu'il veut nettoyer mon visage de ses lèvres et sa langue. Mes mains à son torse bruni caressant. Désir de. Il se dégage, se dévêt entièrement, sauf chaussettes. Beau corps bronzé et lisse, le poil léger. Je le suce. "Tu veux que...?", il dit à un moment. "Si tu veux", je réponds. Il désigne mon cul, ma chatte. "Tu as ce qu'il faut ? " - "Non." "Alors non!"

"Tu ne risques rien, je dis.

" Avec toi peut-être! Mais les autres ? Ceux qui sont déjà venus pareils en toi ?

"Je fais attention. Je me teste tu sais."

Il hésite. Puis. Son sexe en moi. Que je retiens d'une main. Une main qui caresse en même temps. Il vient. J'ai rien senti mais suis pleine de lui. 


Plus tard, un autre viendra. Qui ajoutera sa semence à la sienne. Je dormirai ainsi, pleine de deux. Mais c'est D que j'aime.


MOI

Et puis d'autres sont venus

mon histoire lentement
Au bout d'un moment, on ne compte plus guère. On est heureuse de plaire, heureuse de sucer. Bouche et chatte s'assouplissent si je puis dire ainsi. Il arrive bien sûr qu'on ne soit qu'un objet entre les mains de celui qui vient. Un objet dont il va user et parfois abuser. Je n'ai pour ma part jamais été victime de véritable sadisme. Même quand je suis allée au Bois de Boulogne seule, je n'ai pas été victime de violence. Peut-être, ai-je eu de la chance ? Il est vrai aussi que l'essentiel de mon activité avait lieu en appartement. Et aussi dans des clubs et en soirées privées;

Amoureuse

Demain,

Sans le confinement, M serait venu. M, un qui m'a vue sur un site. Un autre avait décommandé pour mardi. Demain, deux qui viennent, dont un qui m'a vue sur Trans. sex escort avec des chaînes. Sept ou huit rendez-vous donc à venir. Mon séjour près de Nice sera riche donc en sensations déjà. J'en dirai plus demain soir, mais déjà les mots écrits par le dernier fouettent au plus profond.


Jouer de moi sans limites. Ces quelques mots. Chaînes, anneaux aux pieds, cuir. Non, body de velours noir, string, bas à mailles noires. Petits talons roses. Jupe noire, bolero à roses, truc de pute que je traîne depuis un temps certain. Je serai prête quand il frappera à la porte. J'ai imaginé sa tête, pas sûre que ce sera la bonne, puisque je ne connais que sa voix. On verra. Ah oui, j'aurai les tétins pris dans des pinces, puisqu'il le veut.

Quand je recevais sur Paris

putain

Très vite Alex n'a plus suffi

je me rappelle le chemin...
Alex, sa cravache, son bondage bientôt n'ont plus suffis. Et puis des qui cravachent, j'en ai rencontrés d'autres. Si bien que je me suis éloignée d''Alex, mais pas tout de suite. Il était simplement trop tendre et aussi pas assez chic pour moi. Je ne regrettais pas Jasmin, Passy mais quand même. Et puis j'avais l'idée aussi de poser pour des photos x et aussi des vidéos x.


En attendant, je m'exhibais ici et là, j'alimentais mon blog sur erog ( le quotidien d'une trave entravée) dont certains se rappelleront peut-être, et surtout je suçais qui venait me voir.Je n'en avais jamais assez. Et seule la fatigue parfois. La fatigue et les lapins somme toute nombreux.

On finissait par entrer en moi comme dans un moulin. Surtout les blacks dont j'aimais tant qu'ils aillent droit en moi. Un notamment qui demandait que je me tienne ainsi sur le lit porte d'entrée entrouverte afin qu'il puisse venir quand il le désirerait et là, sans que je l'aie jamais vu, il me pénétrait puis se jouait de moi comme d'une poupée...

12 Octobre 2021

Dear Gerald


En me quittant l'an passé alors que j'envisageais de cesser, beau gosse m'avait dit, alors qu'il avait giclé dans ma bouche à trois reprises : Une putain reste une putain. Tu n'arrêteras pas. Ou tu y reviendras."


Je n'ai pas cessé, quoique souvent. Là, après un retour éclair Berlin-Nice, j'ai reçu "Dear Gerald" qui aime le cuir , je veux dire porter le cuir et cravacher parfois.


il m'a bien baisée.  Cette photo pour qu'il se rappelle de moi, de Liane.

TopEscortBabes.com

Ce n'est pas lui néanmoins

Puisque je ne l'ai jamais vu...
J'aimais les pomper de la sorte. C'est ainsi que je suis devenue Bouche de Velours et qu'ils ont commencé à venir voir Bouche de  Velours et plus Liane. Dans les boîtes où j'allais accompagnée, des étaient là que je ne connaissais aucunement mais qui eux me connaissaient. Bouche de Velours.

Strip-tease

strip suite

Telle que

en action

Une partie fine

comment j'ai été avec deux hommes


Je traînais dans des clubs. Un libertin m'avait montré le chemin en m'y emmenant. J'avais aimé, je suçais à la file ceux qui se présentaient, souvent séparés d'une grille, mais aussi au milieu d'autres qui regardaient, et parfois, ne se contentant pas de regarder, prenaient la place de celui que je suçais. Oui, j'avais aimé ça et je recevais chez moi dans une petite chambre parfois jusque quatre hommes en même temps. Là, ils ne seraient que deux, mais les photos faites par l'un d'eux seraient "partageable". Le premier, celui debout, celui qui se finit dans ma bouche, est revenu bien des fois et chaque fois ce fut un plaisir des sens renouvelé. Il m'aura fistée par exemple, ils ne sont pas nombreux à m'avoir fistée. Il avait une grosse queue blanche et était toujours élégant avec moi. Oui, je l'ai regretté quand j'ai dû quitter la région parisienne.

Le second, ici couché, sans cesse couché ou spectateur, c'était la première fois, il sera revenu seul, une seule fois, il n'était pas à l'aise. C'est ainsi. C'est lui qui prend les photos, l'autre mène la danse. Et j'aime ça.

Un rendez vous

ce 18 Novembre 2021


Gorgée de caresses. J'aimerais être restée au lit sur lequel. Ma bouche cherche son sexe alors qu'il est parti maintenant. Et généreux avec ça. Le sourire sardonique, il est entré, grand et blond, Quand j'y repense...Il bandait dur dans ma bouche sous ma main. Et ça a duré jusqu'à ce qu'il me prenne - veuille me prendre - la chatte. D'ordinaire, celle-ci est ouverte. Là, serrée comme le cul d'une vierge. Il a débandé d'un coup. J'ai essayé de ma bouche de le durcir de nouveau. Mais malgré de longs moments, rien n'y a fait. Je me suis excusée; rare heureusement.

Fin Octobre 2021

journal


De retour. Pluie intense. C'est l'automne n'est-ce pas! Un visiteur. Grand et gros et velu très. Veste de jean noire et pantalon idem. Il me regarde, me déshabille du regard. J'aime et j'aime pas. Il referme la porte; le spectacle lui a plu. Je propose une bière. Il décline, s'approche, m'enlace. "Tu me plais bien. Ton allure de pute me convient. Même si t'es pas de première fraîcheur." Il m'offre de ses doigts à sucer.  " Doucement doucement on n'est pas pressé sois un peu sensuelle lascive ma putain." il dit et j'essaie d'être sensuelle lascive comme il veut. "C'est bien. Maintenant tu fais pareil avec ma bite ok ?" J'acquiesce je glisse je tire le zip j'extirpe la bite j'essaie de le faire bien sans la blesser. Il finit par m'aider, défaisant sa ceinture. Assez longue et dure, le gland violacé. Je suce. Longuement. Il m'indique de ses mains de cesser. Je cesse. Il se déshabille. Il est nu. Entièrement. Sur le lit. "Maintenant tu vas m'embrasser me lécher partout partout. Compris ?" Je vais faire. Longuement. Pendant qu'il va crocheter mon cul, rouler ses doigts dans ma chatte, murmurant cochonneries à son intention autant qu'à la mienne. Puis il va me demander de me déshabiller. Entièrement. Et puis il va me pétrir longtemps et puis s'enfoncer dans ma chatte et jouir. Avec un préservatif je préfère préciser.

Ce 18 Novembre 2021

J'ai bouffé de la bite beaucoup


Je finis (?) la journée. Quatre visiteurs. J'ai bouffé de la bite en veux tu en voilà.  Et j'ai encore faim en écrivant ces mots. Couchée sur le lit, je me caresse entre deux mots. J'ai la bouche encore mouillée du sperme du dernier. Leur odeur est partout sur les draps, il me faudra les laver. Je veux encore.

Encore faim

bouche à bite

caresse solitaire

Un soir que je suis seule

dernier état de Liane

Bientôt femme et rien que femme

opération en vue
Une nouvelle qui me bouleverse. La clinique a accepté que j'entame les dernières procédures en vue de l'opération qui me fera femme tout à fait.

Depuis je ne cesse de me regarder dans  mes miroirs de salle de bain. Je ferme les yeux et m'imagine sans ce sexe d'homme. Certes, il n'est déjà plus rien, un gros bijou comme disait Serge de T dans ses lettres. Quand il l'avait gobé la première fois, il l'avait appelé aussi bouton de rose.  Après quoi, il m'avait cinglée le buste et le cul d'une de ses cravaches. 

Il m'avait rendue folle de ses lettres et ce qui les accompagnait bien souvent.  Fleurs et vêtements avaient suivi, il aimait que je porte le cuir. 

Il aura été important dans mon parcours de vie. J'avais alors renoncé presque à devenir Liane. C'est lui qui m'avait redonnée le goût d'être, en exaltant ma beauté - réelle ou supposée selon lui. J'y avais assez cru; ah, fouler pieds nus ongles laqués anneaux aux orteils les feuilles mortes du bois de Boulogne en lisière de Neuilly où il résidait! C'était comme sentir son sexe dans ma fente meuble. Ce goût du sexe qui me conduirait à multiplier les aventures et, peu à peu, le détacher de moi. Lui qui me voulait déjà femme et rien que femme, sa putain rien que pour lui.

Et aujourd'hui!


...Je ferme les yeux, je pose mes mains sur mon corps tout le long en dessine les courbes,  fente au lieu de ce sexe encore d'homme. Une fourrure ? Où enfouir mes doigts, les sentir mouillés, les humer, les lécher et plonger dans le trou plus bas, ses senteurs capiteuses qu'il traquait de sa langue.


...Anton, un beau blond, croisé à Berlin, où j'étais il y a peu. Où je n'irai plus sans doute, ayant décidé de  me consacrer à la Côte d'Azur juste. Quand il m'a soulevée, bras autour de ma taille, pour me laisser retomber sur son sexe dur et long, éclatant en vagues brèves dans ma "chatte".


Nous avons dormi côte à côte. Je l'ai sucé de longues minutes plus tard, lui redonnant un rien de vigueur. Je lui ai raconté mon projet arrivant à son terme, il ne m'a pas crue. "Plus personne ne voudra de toi", il m'a dit dans son français quasi parfait. Moi, je ne connais d'allemand que les quelques mots crus qui excitent les clients. Il faut m'entendre chuchoter " mein liebedich" à  l'oreille ou le cou de l'un et l'autre pour comprendre que cette langue me demeure étrangère. 


Peut-être. Mais voir ce corps finir de s'insinuer femelle. Etre Liane tout à fait. Liane exactement! Cela me devient irrésistible.

de retour de Berlin

quelques jours à Berlin, chez K.
Je m'affiche rouquine. J'aime bien, ça me donne un air coquin. Vêtue de ma robe rouge très échancrée ou de latex, j'ai un air cuir aussi qui excite.  Je n'aime rien tant qu'exciter. K lui-même est assez cuir, poignets de force, bagues tête de mort aux doigts, chaînes, salopette de cuir, gros godillots. J'aime aller à son bras, sa force me rassure. Poser ma tête sur le tapis de poils de son torse. 

Mais je dois assurer aussi. Satisfaire les copains qu'il décide de recevoir le temps de mes séjours. Possible que je n'y retourne pas. En effet, chaque fois, j'en reviens abîmée. Néanmoins, j'y retourne, j'aime ses sensations d'éveiller l'autre, de l'allumer, qu'il joue avec moi, me dise des mots crus, me frappe, me claque. J'aime ça. Si j'osais je serais percée de partout et avec des tatouages. Un tatouage que j'avais tenté, un beau papillon, m'avait rendue malade et je n'avais pu poursuivre. Quant aux piercings, j'en ai tenté ici et là, mais j'ai toujours hésité à aller au bout. Bref, il n'y a qu'au lit et en privé que je donne tout ce que j'ai. 

Et j'ai assuré. Deux par jours, minimum, pendant une semaine. Sans compter que K bande dur quand j'assure comme j'ai assuré. 

S'il l'avait proposé, j'aurais pu même lui appartenir tout à fait. Mais il a pas fait. Alors, je pense que je n'y retournerai plus. 

salope hard

une dernière expérience allemande


Griffée mordue, sa queue collée entre mes fesses, sa queue crevant mon cul d'un coup de reins, il me chuchote des mots durs dont je ne comprends pas le sens exactement, mais dont le ton me fouette. J'aime entendre pareil son métallique tandis qu'il va et vient dans mon cul et que ses doigts griffent ma peau et que ses dents me prennent à la nuque à la gorge à la nuque de nouveau tandis qu'il se répand en moi que son sperme m'inonde cul et cuisses de sa chaleur.


L'Allemagne. Une destination que je ferme pour un temps. Pour un temps, revenue en France, au-dessus de Nice, où m'attendent d'autres aventures. 


J'étais donc revenue à Karl dans cette pensée. S'il me revient, ce sera lui qui fera le voyage désormais. Mais il aura bien d'autres opportunités que moi, j'en suis sûre. Aussi, je voulais que cette rencontre soit une fête de tous les sens. Une fête inscrite en chacun de nos corps pour un temps.


Nous avons donc passé trois jours à baiser dans une chambre d'hôtel dans Berlin. Dès le début, il m'a marquée de différentes façons.  Mais je le voulais, je le voulais très intimement. Je voulais le sentir en moi un long moment. Aujourd'hui encore, alors qu'il y a presque une semaine...


Je le sens en moi toujours. Mon corps est rompu encore de ses traces. Il m'a fait mal mais je voulais pour qu'il dure en moi un temps encore.  Il m'a mordue à différents endroits de ma peau, m'a fait mal aussi me labourant sauvage cul et bouche. Mais j'ai joui autant qu'il a joui.


J'ai joui au point de demander grâce. Grâce qu'il ne m'a pas accordée. 

une dernière expérience allemande

Baisée

un rendez-vous


Lundi 2 Mai. 15 heures. Le rendez-vous. Je reçois. Matinée à tourner. Midi, je me fignole. Le cul à l'air. Comment sera-t-il ? Aux environs de quinze heures, une moto. Le bruit d'une moto s'éteint au-dessus. Silence. Est-ce...? Des pas dans les marches.


Grand. BCBG. Le cheveu gris. Moustache brève, en brosse, grise. Il me regarde. Moment toujours de tension. Il zippe son blouson. Veste, chemise, cravate. Signe que j'approche. Bisous du bout des bouches.


Ses bras, ses mains. Autour de moi. Robe relevée. Mon cul dans ses mains. Bisous, bisous. Ses yeux, ardents. Ironiques, un rien. Ses doigts.


J'ai sucé ses doigts. Il a pesé à mes épaules. Accroupie, j'ai fait ce que je sais, ma bouche emplie. Longue fellation. Langue à ses couilles. Bouche à ses couilles. Bouche pleine.  Larmes.


Mes doigts aussi. Mes ongles. Mes dents. Ma langue. Mes lèvres. Ma bouche. Mes doigts tapotant doucement, tandis que dans ma bouche.


Il a jailli. Âpre, acide.  Ses mains broyant mon  crâne. S'est retiré.  Rajusté. Rhabillé.


Suis restée accroupie, tête baissée.  A récupérer. Le bruit des billets glissés à cette même robe violette que sur le cliché.


J'ai espéré un autre. Puis dans la pénombre, le lit prêt, allongée, j'ai repensé à. Mes doigts ont fait le reste.

Mercredi 4

Il est revenu



Quand ils reviennent...Ce sentiment, accomplissement, fierté. En ce peignoir, ainsi qu'il demandait. Cette fois, il voulait ce qu'il n'avait eu encore.


La chambre. La pénombre. Le lit. Le corps dénoué. Le cul. Protubérant. Offert.


Son sexe. Il est entré très simplement. Pas toujours aussi simple, je me contracte parfois. Entré, il a bougé. Mes pieds entre ses mains. Brouette ?


Il a giclé. Je n'ai pas senti. C'est lui qui. Se retirant. Baisers à mon cul. Baisers à mes plantes de pieds. A mes pieds.


Il a glissé dans la salle de bains. S'y est débrouillé. Me suis refaite une beauté. Attentive à ce visage dans la glace. 


L'ai rejoint. Intimidée par ce corps, cette aisance, cette évidence. 

On se reverra, il a dit. Son visage sur le mien à travers la glace au-dessus du lavabo. 


Les billets posés parmi les fards, la poudre.


Bisous. Sourires. Parti.


Le bruit de ses pas dégringolant les marches.


Heureuse, je suis retournée au lit. Son odeur sur le drap. Des traces de son. Sperme. Mes doigts caressant ma peau à l'endroit où. Gluant de son. Sperme.


J'ai joui doucement.

lADYXENA

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13 Mai 2022

rencontres


L' Allemagne derrière moi désormais. Il faut sinon se réinventer se remodeler une vie. Ces derniers temps, j'ai fait exhib sur StripChat et j'ai été pas mal sur Facebook où je me mise en avant pas mal sur ma page.


Néanmoins, et quoique loin très loin de mes moyennes quand j'étais en Région Parisienne je reçois toujours. 


Cette fois, ce 13 Mai donc, c'est un marocain d'origine, la soixantaine, qui s'est présenté à ma porte. Petit, grassouillet, des yeux noirs, une petite moustache bine fournie noire. Sans façon, il a défait son ceinturon, baissé son pantalon, tiré son sexe de son slip un sexe long et brun, déculotté et m'a indiqué de le sucer. 


Je me suis accroupie et, son sexe entre des doigts, je l'ai sucé et j'y ai pris goût. 


Quand il a giclé, j'ai avalé son sperme, un sperme crémeux et âcre. 


Une fois vidé, il m'a poussé son sexe de nouveau dans ma bouche. Et j'ai dû de nouveau le sucer. 


Cette fois, ce fut plus long, avant qu'un filet de son sperme me mouille l'intérieur de la bouche.


Une fois fini, il a remballé son sexe dans son slip. Posé sur la petite table un billet et un autre. Un bref sourire, un baiser du bout des lèvres à mes lèvres. Parti.


15 (sic) mai 2022



Un sur StripChat. Je l'allume, il aime ça, il l'écrit. Il jouit, enfin me le dit. Il demande un rendez-vous. Délicat. 


il m'envoie un mail plus tard sur ma boîte Hotmail. Réclamant un rendez-vous. Du réel.


Mercredi. Enfin, oui c'est ça. Mercredi soir. Vingt et une heures à peu près. J'avais eu à m'absenter. J'étais lasse. Je pensais que ce serait un "lapin". Ce n'aurait pas été le premier. Surtout ainsi. Mais non, il est venu.


Un rouquin mal fagoté. La quarantaine peut-être. Sentant fort la sueur. Des mains incrustées de noir. Regard direct. Assuré. Des yeux bleus.


Lui s'est assis. Tapotant une de ses cuisses, il m'a indiqué de m'asseoir dessus. Il a glissé une main sous ma robe , m'a saisi mon bijou, qu'il a roulé dans ses doigts.


"Tu aimes ? il a demandé, la voix rogue.


Iil faisait plutôt mal mais j'ai dit que oui. Il a continué un moment, puis m'a demandé de me tourner. Et il m'a trouée d'un doigt. A sec.


"Et ça tu aimes ?", il a prolongé. Bougeant le doigt, le sortant, reprenant.


j'ai secoué la tête pour signifier que pas trop. Il a continué pourtant. Le temps qu'il a voulu. Me donnant son doigt à sucer. Et s'amusant de ma sucette.


On est allé dans la chambre. La il m'a poussée sur le lit, de façon à ce que je lui sois de dos. Il a soulevé la robe, tiré le string et à la suite de son doigt m'a plantée.


Il s'est retiré juste avant de gicler. Sa giclure a été sur une de mes fesses. Il s'est essuyé dessus. J'ai senti ma peau mouillée et un bref instant tiédie. 


il a remonté son falzar. M'a dit que j'étais une bonne pute. A posé le billet sur la table de chevet sur des livres. Je suis restée dans la même posture, cul par dessus tête. 


Je l'ai entendu partir. Je me suis glissée dans les draps. Et dune main lente, la tête pleine d'images récentes, j'ai joui.

Hier soir, 21 mai 2022


StripChat de nouveau. Beaucoup qui se rincent à l'oeil sur les trois cents à peu près un peu plus qui suivent mon show. Nue, je me pince les  seins, me caresse les tétins - nipples comme beaucoup disent - je me tourne, creuse les reins, enfle mon cul. Fourre des doigts. Feins le plaisir. Quelques shows privés. Et puis j'arrête. Un autre rendez-vous peut-être. 


Puis je vais sur Facebook. Et là je fais cam avec un qui demande. Et je mime une fellation. Jusqu'à ce qu'il se fasse gicler. 


Et un autre. Pareillement.


Moi, j'attends toujours mon prince charmant. Sera-ce JeanJean ? Il m'a déjà posé deux  "lapins" à l'automne dernier.

Quand le client tarde je me prépare avec un gode. Je me l'enfonce par tous les trous et ainsi quand le client arrive...

J'aime ce parfum âcre de sueur de celui que je déshabille en même temps que je lèche suce ses poils sa peau descendant doucement à la fourche des jambes et avalant le doux reptile qui déroule dans ma bouche et ma gorge. Après c'est lui qui prend l'initiative, me guidant d'une pression de main juste ou par une claque avant de s'enfoncer et se répandre en moi. Alors, c'est fini et tandis que je retouche mon maquillage il file dans la salle de bains et ressort habillé avec juste l'angoisse que du rouge demeure à ses lèvres ou sa peau.

Amour ?

Tedy on Flickr
Il y a ceux qui vous allument puis au fil de l'échange vous insultent vous mettent plus bas que terre, ce fut le cas de ce Laurent B sur Flickr quand il sut que - hasard - coïncidence - nous habitions à vingt cinq kilomètres l'un de l'autre. Et puis sur Flickr encore il y a ce Tedy qui m'écrit des lettres comme aucun homme ne m'en aura jamais écrites. Des lettres avec des mots qui me couchent sur mon lit et mènent à la caresse sur tout mon corps et au plaisir de quelques pressions de paumes entre mes cuisses. Et les mots qui me viennent très doux comme les baisers que je pourrais poser à son corps et son sexe. Alors oui, je crois bien devenir amoureuse de ces mots, des mots de Tedy et qui sait ?


La question est....?

interrogations


Opérée, pas opérée ? La question que je me pose. Je la pose aussi à André par téléphone (André est un très vieil amant à moi, du côté de la région parisienne) Il y a des années il m'avait dit surtout de ne jamais me faire opérer, que ça faisait perdre tout intérêt des hommes pour les trans....Le temps a passé...Je n'ai plus autant d'amants qu'alors...Les visites se raréfient...Bien souvent, il me faut me caresser sur mon grand lit pour apaiser mes faims. J'aime me titiller les bouts de seins, ils sont sensibles très, mais bon, j'aimerais davantage une bonne bête à cajoler et à m'emplir. Je me suis approchée d'un "mari" possible. En même temps, j'aime trop cette vie débridée de pute. Alors, je me dis : Opérée ou pas ? Dernière étape.

PLAISIR

Un leurre ? Cette chose oui qui supplée à l'amant pressé qui, à peine son sperme craché, ne pense plus qu'aux traces à son visage, sur son corps, avant de rejoindre sa vie. Je n'aurai été qu'un bref crochet dans sa vie. Il a donné pourtant faim par son corps tout proche, la fellation faite avant qu'il ne me renverse sur le lit et...

Alors, comme le suivant ne s'annonce pas, il faut calmer ce feu. Alors, c'est le leurre que je prends. Et avec lequel, images qui me reviennent de l'étreinte passée, de ce qui a eu lieu, j'apaise longuement - ou très vite - ce feu qui me consume.

salope

une soirée, souvenirs
Revenue d'Allemagne dernièrement ( la photo ici est plus ancienne) j'ai fait escale chez un ami parisien. Un vieux monsieur vicieux et qui sait que je le suis aussi. Il y avait là autour de lui quelques amis, des hommes essentiellement mais une femme qui regarderait juste et ne toucherait qu'un homme, le sien. 

Ce vieux monsieur, blond mais virant au blanc désormais, je l'ai rencontré dans un des clubs que je fréquentais à Paris surtout. Il avait été brièvement un parmi d'autres que je suçais à la file quand ils ne m'enfilaient pas à la suite. Il avait été tendre et attentionné, le peu de temps qu'il m'avait fourrée de son sexe pâle et le gland recouvert de sa peau. Après, un black l'avait remplacé, une longue et belle bite black et j'avoue que j'avais zappé son passage

C'est en fin de soirée, c'est-à-dire au matin, qu'il était revenu me voir, glissant sa carte dans ma pochette.

Je l'avais revu à l'adresse indiquée. Un appartement charmant dans le septième, du côté de Jasmin. Il parlait cru et m'avait humiliée de ses mots, avant de me donner la cravache. Ainsi, il m'avait conquise. Me faisant jouir de la pointe de la cravache avant de me reprendre en main et me donner mon plaisir de sa main impérieuse, m'obligeant à admettre tout un tas de crudités que j'ai tendance souvent à recouvrir de beaux mots.


Je suis partie du côté de Nice. On se téléphone. On se voit par vidéos interposées. J'aimerais qu'il me rejoigne parfois, il ne se déplace plus guère.  


Ce soir d'Avril, j'avais faim. Une étape de ma vie cessait avec ce renoncement à l'Allemagne. Ils étaient quatre en plus de mon ami. Je me suis offerte à chacun, séparément, en duos, en trios, et tous ensemble sous le regard de la femme. 

Bien sûr, entre gens d'un même monde, pas de photo, ni vidéo. Je regrette. Je reverrai cet ami seul, et là il saura me faire jouir des photos saisies à différents moments de notre étreinte.


Je suis repartie en début d'après-midi en train pour Nice. 

suite du rêve

...Je lui fais une biroute rapide. Il ne bande plus mais sensation peut-être. Il me mettra des doigts, sa langue. Il me donnera des coups. Pas méchant, juste pour le fun. Avec un gode, il fera ce qu'il ne peut plus avec sa bite. Il sera content ?


J'ai beau être pute, j'ai un coeur, chaque fois, qui fait boom. Et un homme qui serait un habitué, au-delà de ceux qui viennent une fois, deux fois, quatre fois et puis plus rien. J'aimerais bien!!!

au fil du temps...

bouche velours

Gérard

Généreux il me vide tout à fait


J'attendais. C'était cet été. En août. En retard, j'imaginais qu'il ne viendrait pas. Mais si. Un homme âgé qui m'a sortie au restau, avant de me traire - comme il disait - petite vache qu'il m'appelait. Trois fois, il m'a traite et vidée. Je lui envoie mes photos désormais et il reviendra.

Vais je retrouver beau gosse?

Beau Gosse était un client il y a des années à Sèvres quand.


Revoir beau gosse. Sentir sa bête dans ma bouche. Sentir son sperme sur a langue. Avaler sans coup férir une deux trois jusque sept fois sa liqueur;; J'hésite car il sollicite beaucoup. Mais aussi ma main se porte à mon bijou dès que la pensée revient. Je lui ai écrit j'attends donc.

Mon cul fourré de foutre

l'après midi avant je m'étais fait foutre le cul
Sentir le poids de mes seins
C'est un homme dur. Sans doute, avais-je (ai-je) besoin de cela. Il m'a prise en mains, nous sommes allés dans un restau du côté de l'escarène. Puis il m'a ramenée au pied de l'escalier menant à chez moi.Depuis, je l'ai revucinq ou six fois. Il me prend le sexe de ses doigts en tenaille et me branle jusque je jaillisse.Ou bien il me téte. Il appelle ça ; traire, me traire. Et il m'a encourgée

quotidien

se préparer comme chaque matin, prendre mes hormones, me laver profond (comment s'appelait celui qui m'a initiée tôt à cela ?), choisir une tenue pour exciter. Il pleut: une pluie de couturière. Il fait gris, le ciel bas. Allumer les lampes. Un doit venir: viendra-t-il ? Ici et là, pose de bijoux. Je me rappelle juste sa bête énorme et couleur mastic. Je me demandais si...Ma bouche s'était refermée dessus, j'avais pompé, léché longtemps. Opéré de la prostate, il n'éjaculait plus. Ensuite, intimant que je m'assieds sur ses cuisses, il m'avait branlée et j'avais joui trois fois en peu de temps, tellement excitée par son regard froid, ses mots secs, brutaux. " Les femmes c'est fini pour toi maintenant. Maintenant tu seras une pute pour hommes."


On frappe. J'hésite. J'entrouvre. "Liane ?" J'ouvre. Il entre, sophistiqué; vêtements choisis, élégants. Toujours, la première fois, je suis intimidée. Toujours. Je lui propose à boire. Il préfère qu'on passe tout de suite au coeur de la rencontre. Dans l'ombre de la chambre, il see dévêt; son sexe à l'horizontal, rougeoyant. Il m'indique de me coucher à quatre pattes sur le lit. Je fais. De ses doigts m'explorent. Je grimace. Néanmoins, ils progressent, élargissent. Enfin, il est derrière moi, sur moi. Son sexe me pénètre doucement. Je me colle à lui, mon cul dans sa toison épaisse. Il jouit vite, puis me branle. Je jute vite moi aussi. Il me donne ma récompense. La porte claque, il est parti.. Je reste pensive, mouillée de son sperme. Y goûtant. Avalant



Il entre. Coeur bat. Me regarde, me jauge. Excitation. Intimidée. Je m'approche, pose une main à son torse. Il m'enlace. Me donne un baser et un autre. Le rouge de ma bouche déborde. Je m'accroupis, touche - à travers le pantalon -  le renflement, son sexe.


Maintenan

nisia
05/17/2022 22:45
hate de une rencontre avec toi bisous princess
Janus
09/22/2021 06:29
Toujours aussi désirable !
03/18/2021 11:44
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